1 ourrait aborder ici le problème des transports en commun . Mais c’est une vaste histoire… l. « Denis de Rougemont : que fera-

2 e reste attaché. Une redistribution aussi dans la commune , dans l’entreprise et jusque dans les maisons… Cette redistribution d

3 u pouvoir de l’État, les régions, l’autonomie des communes , le fédéralisme… Tandis que le nucléaire, par son énormité, son prix,

4 et bien d’autres organismes dont le dénominateur commun est l’Europe. Quel a été le point de départ de cette action ? Cela re

5 ouvrage. Le premier échelon de la région est la commune qui doit savoir se rendre autonome, qu’il s’agisse de bâtir une école

6 nos rues. Comme le problème est le même pour les communes voisines, la solution qui s’impose est le syndicat intercommunal. Con

7 dans la région. Elle est l’aire naturelle où les communes vont trouver les moyens qui leur manquent pour traiter effectivement

8 même dialecte germanique et les problèmes y sont communs , mais cette région est actuellement partagée entre trois pays. Chaque

9 enseignement, d’écologie (nous avons à assurer en commun la protection du lac Léman). C’est du bon travail régional. Une derni

10 f immédiat et concret qui se trouve être vraiment commun à l’entreprise des militants fédéralistes et à la classe politique au

11 ireront leur honneur de leur contribution au bien commun … Il s’agit aujourd’hui d’affranchir de la guerre et de la servitude l

12 s de ce continent, déclarons solennellement notre commune volonté dans les cinq articles suivants, qui résument les résolutions

13 l va inspirer le traité de la CECA, cette mise en commun du charbon et de l’acier dont on fait les canons, qui lie symboliquem

14 e conforme au vrai génie européen et à la culture commune de nos peuples, donnera lieu, un an après le congrès de La Haye, à la

15 de musique. On notera que le motif de la défense commune n’était pas mentionné dans le Message de La Haye, ou plus exactement 

16 ial, de la culture, et finalement de la politique commune des pays membres ; on voit bien que dans ses publications, elle se no

17 pas, dans aucun domaine fondamental, de politique commune des États de l’Europe : non, pas même pour les Neuf de la Communauté.

18 ire représenté par les deux chambres ; ni monnaie commune  ; ni défense commune ; ni plan commun pour faire face aux crises éner

19 s deux chambres ; ni monnaie commune ; ni défense commune  ; ni plan commun pour faire face aux crises énergétiques comme celle

20 ni monnaie commune ; ni défense commune ; ni plan commun pour faire face aux crises énergétiques comme celle de 1973 ; ni poli

21 s énergétiques comme celle de 1973 ; ni politique commune contre l’inflation sans augmenter le chômage, ou contre le chômage sa

22 de premiers secours mutuels, ni aucune politique commune à moyen et à long terme. Toutes ces tensions, lourdes de conflits lat

23 violence, et de croire de nouveau à notre avenir commun . Écologie – régions – Europe : même avenir ! ⁂ Cette triple émergenc

24 la société capitaliste, produira des effets sans commune mesure avec l’énergie dépensée pour la coder et la transmettre de Fri

25 plus la nécessité de se retrouver dans des tâches communes . Ils en ont assez d’être muselés, exploités, traités en robots. Déjà,

26 er… mais descendre de son piédestal à hauteur des communes . Quand le pouvoir est divisé, il est moins offensif et dangereux. Qua

27 les individus se sentent appartenir à un univers commun , et non plus être esclaves d’un ordre sur lequel ils n’ont aucune inf

28 les jeunes sont plus sensibles à l’aspect « œuvre commune  » du mariage que nous l’étions autrefois. Je vois là une espérance. P

29 er de leur destin. La démocratie commence dans la commune . Une grappe de communes réunies par un projet commun, c’est une régio

30 émocratie commence dans la commune. Une grappe de communes réunies par un projet commun, c’est une région. Des régions associées

31 une. Une grappe de communes réunies par un projet commun , c’est une région. Des régions associées pour les tâches qui excèdent

32 L’Europe est une culture commune (1978)a L’Europe, qui a dominé le monde pendant des siècles, n’est

33 municipal, étendu à l’empire hiérarchisé ; la loi commune  ; les grandes routes de l’Europe ; et la notion de citoyen (un respon

34 anière plus durable, dans la tradition littéraire commune à tous les Européens à partir du xiie siècle (romans de la Table ron

35 ux yeux de l’esprit. Telles sont donc les sources communes de la culture européenne, et nous en sommes tous tributaires — que no

36 que de l’Occident est la seule qui repose sur les communes fédérées et les parlements délégués, et qui organise ainsi une résist

37 es compare à l’importance de ce que nous avons en commun  : 2° que ces oppositions, loin d’être éternelles ou même traditionnel

38 des découpages arbitraires, opérés sur l’héritage commun des Européens, ou alors des nuances, certes valables et souvent préci

39 rces. Cette unité de base est celle de la culture commune à tous les Européens d’aujourd’hui. D’Éphèse à la forêt de Brocélia

40 une première définition de l’Europe. Rien de plus commun à tous les Européens que leur goût de différer les uns des autres, de

41 istocratie du langage ». Quatre ans plus tard, la commune de Paris règne à la place du roi qu’elle a tué. Barère déclare à la C

42 er demain les réalités créatrices de leur culture commune , elle ne pourra que traduire en formes et en institutions la double p

43 n européenne : un contexte de civilisation devenu commun à toute l’humanité. Puisque son modèle industriel qui a été imité par

44 réer. Le projet de constitution belge suppose des communes autonomes groupées en « fédération de pays » ou sous-régions, et en t

45 s’agit d’un seul et même mouvement dont l’ennemi commun est l’État-nation. En France, tout ce qui est plus grand que la Franc

46 ce, de réunir tous ces groupes sur une même liste commune (Europe-Écologie, Régions-Europe de Jean-Edern Hallier, Emploi-Égalit

47 réer. Le projet de constitution belge suppose des communes autonomes groupées en « fédération de pays » ou sous-régions, et en t

48 nt, pour favoriser les échanges et les opérations communes . D’autre part, donner à l’ensemble ses meilleures chances d’agir comm

49 st pas seulement un héritage à conserver mais une commune manière de vivre et de créer, en accord avec une conception générale

50 our un Européen, c’est sa participation au trésor commun des œuvres créées depuis des siècles par l’esprit des Européens. Mais

51 ndantes et au surplus rivales. Leurs sources sont communes , elles jaillissent du même fonds et s’alimentent aux mêmes nappes pro

52 e nos peuples, et à la formation d’une conscience commune — condition préalable de tout civisme européen — c’est le nationalism

53 qui ne résulte de mille échanges, tissant l’œuvre commune des Européens, pas une seule que l’on puisse étudier sérieusement dan

54 e-Savoie et du pays de Gex se trouve reversée aux communes françaises de résidence par l’État de Genève — lequel renonce ainsi à

55 ), et trop grand pour animer la vie réelle de ses communes ou même de ses régions (à l’exception du Luxembourg, de Malte, d’Ando

56 x décennal. Vouloir imposer une frontière fixe et commune à des réalités aussi diversement mouvantes est un projet théoriquemen

57 ne région fonctionnelle sera défini par celui des communes qui choisiront de faire partie de cet ensemble, qui « s’abonneront »

58 r identité particulière, et de leur problématique commune . Elles demandent à s’autogérer, et voient bien qu’elles devraient se

59 de se lier et jumeler, de repérer leurs problèmes communs et leurs complémentarités. C’était leur droit et leur plaisir, et c’é

60 ie, l’éducation et la culture, les régions et les communes , les relations extracontinentales… Rien n’empêchera que ces chefs de

61 un lac ou d’un fleuve, au sujet des transports en commun transfrontaliers, ou du bilinguisme quand l’ethnie se voit brimée par

62 e le pouvoir de décision normal ? Au niveau de la commune , dans la plupart des cas. C’est donc là qu’il s’agit de lutter : pour

63 pourrons l’avoir —, c’est au village ou dans les communes de quartier qu’il nous faut exiger les moyens de la construire, qui s

64 onstruire, qui sont très simples : le droit de la commune à cotiser au syndicat régional de l’environnement, des transports ou

65 la tâche de devenir chacun soi-même réside notre commune condition. Tous nous nous ressemblons en ceci : que chacun de nous es

66 son chemin vers le Réel, c’est-à-dire vers le But commun à tous les hommes de tous les temps : « Dieu », l’Absolu, le Sens, la

67 ie. C’est fédérer, c’est-à-dire indiquer des fins communes à des unités autonomes, — ces fins pouvant d’ailleurs être à court ou

68 sponsable de maintenir vivants les lieux communs, communs à toutes les sortes d’hommes et à toutes les classes. Faute de quoi,

69 par souci de justice — de ce que j’appelais « la commune mesure restaurée » des communistes russes, des nationaux-socialistes

70 fonds que je pouvais comprendre, de recréer une «  commune mesure » pour l’intellectuel et l’ouvrier, le paysan et le commerçant

71 posés les uns à côté des autres sans plus rien de commun entre eux. Cette « foule solitaire » était prête à suivre le premier

72 sa propre hiérarchie interne, soustraite à la loi commune et investie de pouvoirs étendus de contrôle, de surveillance et de ré

73 s racines, des groupes de base que sont familles, communes , petite patrie, où la voix d’un homme puisse porter et le dialogue se

74 allège un instant son action… Les habitants d’une commune trouvent du plaisir à tout ce qui leur donne l’apparence d’être const

75 lles et civiques, liées par un passé ou un avenir commun . Et voici la critique décisive du centralisme jacobin (on la retrouve

76 elles que « solidarités de fait », « institutions communes  », « marché commun »34 — qu’on retrouvera dans tous les traités europ

77 s européens dans les deux camps, menant une lutte commune et clandestine, est-il à tout jamais perdu ? J’ai pu le craindre, par

78 unique le travail secret de leur âme… Ils ont en commun les mêmes aspirations les plus hautes et les plus profonds ; c’est l’

79 belligérants, des deux côtés de leurs frontières communes . Pourrait-on améliorer l’invocation en remplaçant l’épithète Tout-pu

80 lle ne fut pas seulement utilisée par les trois «  communes  » signataires du Pacte de 1291, mais ouvrait tous les actes publics d

81 de rédiger la première esquisse d’une Déclaration commune  ; nous la mettrons au point lui et moi et elle sera présentée à la pr

82 ophie, architecture, technologie — dont jamais la commune appartenance à l’unité européenne n’aura été plus évidente. Le siècle

83 itait pour un fédéralisme à base de régions et de communes dotées d’une large autonomie. En 1981, sa pensée a conservé les mêmes

84 s années, vit aujourd’hui à Pouilly, hameau de la commune de Saint-Genis. Il y a fait rénover une robuste ferme gessienne const

85 ui vient de Paris ! Defferre a compris que les communes étaient la base du fédéralisme Les intentions électorales, c’est u

86 compris la base du fédéralisme, c’est-à-dire les communes , car il a été le coprésident du premier Conseil des communes d’Europe

87 ar il a été le coprésident du premier Conseil des communes d’Europe. Je le crois tout à fait sincère. Il emploie le terme « déce

88 gionale va être mise sur ses rails en France. Les communes en seront l’unité de base. Désormais, elles pourront embaucher, const

89 Napoléon. Pour accomplir leur nouvelle tâche, les communes devront disposer d’une certaine autonomie financière. Comment la conc

90 voir ? Il faut que le revenu de l’impôt aille aux communes et qu’elles en reversent une petite partie à la région et à l’État. A

91 , c’est tout le contraire. Mais on aura alors des communes riches et des communes pauvres. Comparez les cités résidentielles aux

92 re. Mais on aura alors des communes riches et des communes pauvres. Comparez les cités résidentielles aux banlieues ouvrières !

93 s cantons sont bien obligés de soutenir certaines communes . Ensemble, en s’entraidant, les communes peuvent défendre leur autono

94 ertaines communes. Ensemble, en s’entraidant, les communes peuvent défendre leur autonomie et résister à l’oppression. C’est com

95 la réforme. L’esprit régionaliste Mais les communes ne peuvent pas tout résoudre… Le régionalisme n’existera que dans la

96 régionalisme n’existera que dans la mesure où les communes prendront leurs affaires en main et où face à certaines tâches qu’ell

97 ela doit toujours partir du premier niveau, de la commune . Aménager un chemin vicinal, c’est du ressort de la commune. Construi

98 ménager un chemin vicinal, c’est du ressort de la commune . Construire une grande route, c’est l’affaire de la région ; une auto

99 que se constitue un mouvement à la base avec les communes , les pêcheurs, les syndicats. Et ce mouvement ne demandera pas la per

100 t se faire à tous les échelons et d’abord dans la commune . Il faut que les gens soient conscients de leurs problèmes et conscie

101 ger une forme de communication de ce qui est déjà commun à tous les hommes, de tout ce qui peut donc s’exprimer dans les « lan

102 ger une forme de communication de ce qui est déjà commun à tous les hommes, de tout ce qui peut donc s’exprimer dans ses « lan

103 e sacré, le sang et les morts, mais sur l’intérêt commun et les contrats. Tous les membres de la tribu devaient agir de la mêm

104 e se fondent pas sur le passé ni sur des origines communes  : « Il n’y a plus ni Juif ni Grec ». Elles ne se fondent pas sur la c

105 liberté. Le fédéralisme part des groupes locaux ( commune , entreprise, région) et l’œcuménisme reconnaît pareillement leur vale

106 rt œcuménique, est en train de recréer un langage commun , un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce langage au-dessus d

107 rain de recréer un langage commun, un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce langage au-dessus des langages répond exacte

108 tives dispersées, c’est un arrière-plan spirituel commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécessaires unissant ce

109 ’en trouve pas qui expriment mieux notre attitude commune d’alors. Après les années de Hic et Nunc (1932-1939), nos voies po

110 ’attente ardente et dans cette anxieuse espérance commune à tous les « hérétiques » malgré eux : ceux qui ont un jour compris q

111 rouper des familles spirituelles ayant des traits communs . Ce qui importe ici, et qui répond enfin en plénitude à ma question,

112 onder avec Dandieu les éléments de notre doctrine commune . Mais pour les autres, quelles étaient les raisons de notre convergen

113 able spirituel. Deuxième trait que nous avions en commun  : l’analyse de la situation de l’Europe dans les années 1930. Ce ne s

114 ice civil, restauration des communautés de base — communes , régions — où la voix de l’homme en tant que citoyen puisse se faire

115 s travailleurs frontaliers se trouve reversée aux communes françaises de résidence par l’État de Genève, lequel renonce ainsi à