1
e autant que spirituel : celle d’offrir un organe
commun
aux diverses associations qui se sont constituées sous les auspices d
2
tés, ne se veulent liés à rien d’autre qu’au sort
commun
de cette patrie spirituelle qu’est l’Europe libre. Pour tous ceux-là,
3
décrire comme suit : la culture qui était un bien
commun
des Européens s’est divisée en « cultures nationales » ; celles-ci se
4
’Europe. Toutes nos cultures sont nées d’un fonds
commun
, qu’elles ont progressivement diversifié. Elles se sont nourries les
5
x », mais n’a pas encore entrepris les travaux en
commun
que l’on doit en attendre. Quant aux Plans de causerie (tirés à l’20
6
s et de festivals ; établir un plan de recherches
communes
pour l’AIEE ; intensifier la production des articles pour l’APEA et é
7
entre certaines activités culturelles et le bien
commun
des peuples ou du groupe de nations considéré). La formule fédéral
8
le style, etc., ainsi que le problème du langage
commun
. Après une vive discussion, le titre suivant, proposé par M. Markevit
9
ue ridiculement court au regard de notre histoire
commune
. Ce qu’il s’agit de sauver transcende par nature les intérêts de chac
10
ait Dans l’indifférence générale, notre destin
commun
d’habitants de l’Europe s’est gravement infléchi depuis quelques sema
11
is : l’union de l’Europe. Si quelques conclusions
communes
et positives se dégagent de la confrontation de nos jugements sur le
12
nés ». Les richesses de Byzance, enfin « mises en
commun
», furent emportées par l’occupant. Il dépend de vous, Messieurs, et
13
n foyer de réflexion permanente sur nos problèmes
communs
et de diffusion raisonnée des résultats de cette recherche. Cette bas
14
t disposer, à la seule condition de les mettre en
commun
. Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition p
15
dans les six thèmes proposés, l’idée d’un destin
commun
de tous les peuples de l’Europe, défini par leur unité incontestable
16
as ensemble leur salut. La recherche des origines
communes
à tous les peuples de l’Europe, nous l’avons faite sous la conduite m
17
d’une culture nouvelle et des bases d’un langage
commun
. Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouvernement
18
que nous avons changé, et elle a formulé les buts
communs
susceptibles de nous unir. Car ce ne sont pas seulement leurs origine
19
nce mutuelle, et d’une morale civique européenne,
commune
aux deux familles d’esprits. Devant la contradiction apparente entre
20
ructures supranationales, permettant de mettre en
commun
ce qui doit l’être normalement, afin de garantir et de faire vivre mi
21
eprésenter. À cause de l’absence d’une conscience
commune
de l’Europe et de sa situation présente dans le monde. Comment combat
22
n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir
commun
de nos peuples. ⁂ Objectivement, la situation pouvait paraître, au le
23
mpuissance à adopter en temps utile une politique
commune
, expliquent la chute soudaine de l’ancienne confédération devant les
24
ent nationaliste une vue plus juste de l’histoire
commune
des Européens. Ceci n’est qu’un exemple. Si nous cherchons encore où
25
e transforme et se résout en un problème européen
commun
dès que l’on envisage la position de l’Europe entre l’URSS et les USA
26
es buts que je viens d’indiquer. Ce qu’ils ont en
commun
, du fait même qu’ils sont hommes et non pas simples animaux, c’est le
27
du sens civique d’une part, l’absence d’un idéal
commun
d’autre part, minent la résistance spirituelle et politique, préparan
28
sa ruine. Nécessité de réveiller un sentiment
commun
des Européens Il est donc évident que le nœud du problème est dans
29
orte. Si au contraire le sentiment de leur destin
commun
se réveille chez les Européens, la plupart des obstacles existants au
30
écution des projets qu’ils pourraient élaborer en
commun
. ⁂ L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en
31
on ce que chacun décidera d’engager dans l’action
commune
, enfin selon le degré de cohésion éventuelle qui se manifestera dans
32
ser de personnalités très diverses, mais ayant en
commun
ces deux traits : d’être acquise à l’idée européenne, et d’exercer un
33
l’idéal européen qui les anime, et par les tâches
communes
dont ils assumeront la responsabilité. Parmi ces tâches, la création
34
n, pourquoi pas, — dans le style des jumelages de
communes
qui se multiplient fort heureusement dans nos pays. Mais le fait est
35
sement subi l’épreuve de quatre ans de travail en
commun
, d’études préparatoires, d’essais parfois manqués, et de mises au poi
36
sical sera constitué sans délai. III. Entreprises
communes
. — L’étude d’un projet de revue musicale européenne des festivals ser
37
surtout ces pays ». Une proposition de résolution
commune
, déposée par l’URSS, condense ce discours de M. Molotov (pour sa part
38
oit exclue par de telles données de fait. La base
commune
, le minimum de présuppositions et de langage communs, semblent faire
39
mune, le minimum de présuppositions et de langage
communs
, semblent faire totalement défaut. Cependant, le désir d’échanges et
40
ts entreprenant des recherches ou des enquêtes en
commun
; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d
41
tes de savants Une tâche pratique, exécutée en
commun
, et produisant des résultats utiles pour les uns et les autres, rappr
42
et de sociologues russes pourrait entreprendre en
commun
des enquêtes de micro-sociologie portant sur quelques communautés en
43
umains qui peuvent s’établir au cours d’un effort
commun
et prolongé. C. Expositions itinérantes La visite d’un laborato
44
s abstraits, fauves, ont tous une caractéristique
commune
: ils ne savent pas dessiner. » ab. « Propositions », Bulletin du Ce
45
on pas contre l’Occident, mais contre les valeurs
communes
à toutes les cultures nationales de l’Europe et qui précisément par l
46
bourgeoisie occidentale va devenir le grand thème
commun
aux slavophiles, aux révolutionnaires et à certains réactionnaires17.
47
les et revues « progressistes » (les autres, d’un
commun
accord, sont interdites aux honnêtes gens), ou par un silence obstiné
48
n (plan de Messine) ou à permettre une production
commune
de l’énergie (Euratom). En somme, ce qu’on « relance », c’est la méth
49
des unions fonctionnelles et progressives (entre
communes
, régions, professions), tandis qu’à l’instar de la seconde, elle récl
50
été confiée à M. D. de Rougemont. Une déclaration
commune
avait résumé la substance des conclusions unanimement acceptées. Dési
51
t écrivains, sur le thème général de « la culture
commune
des Européens ». M. Max Beloff, historien et professeur à Oxford, dés
52
t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas
commun
dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
53
ncrète — mettons l’action des communistes dans sa
commune
, une augmentation du chômage, un ordre de mobilisation — il a peine à
54
décrit. Les réalités qu’il perçoit n’ont rien de
commun
avec les grandes fictions qu’il redoutait, ou qu’il souhaitait, sur l
55
liens concrets qui unissent la plus petite de nos
communes
aux destinées du continent, tel est le sens, le mouvement général, du
56
ation. Il va de la réalité mondiale à celle de la
commune
et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de la partie au tout, n’
57
valeur du lieu, aux travailleurs d’une entreprise
commune
, comme autant d’occasions d’agir pour l’intérêt local mieux entendu,
58
d’autres privées, d’autres mixtes. Un seul trait
commun
: le désir d’occuper intelligemment les loisirs tout en suppléant à l
59
le n’en résoudrait. Mais leur offrir des services
communs
et une inspiration européenne commune paraît au contraire possible et
60
es services communs et une inspiration européenne
commune
paraît au contraire possible et souhaitable. Le CEC a donc suggéré au
61
tutions politiques, de traditions et de créations
communes
. Sur cette base d’unité, l’union peut s’édifier. L’unité est un fait,
62
ainsi appauvrie, divisée, privée d’une politique
commune
à tous ses États, soumise à l’influence des États-Unis dans sa partie
63
ique et Luxembourg) décident en 1951 de mettre en
commun
leurs ressources de charbon, de fer et d’acier. Ils signent le pacte
64
te, et qu’ils voudraient défendre et maintenir en
commun
. D’autre part, devant le foisonnement des manifestations qui se bapti
65
orces culturelles, et le besoin de représentation
commune
de ces forces vis-à-vis du reste du monde nous appellent et nous pous
66
le très dynamique abbé Martel, et englobant cinq
communes
. — Il a organisé une enquête sociologique sur la région (conduite par
67
(Sardaigne) Objectif : dans un groupe de cinq
communes
assez pauvres, d’économie agricole et artisanale, appartenant à une r
68
els et en « jumelages » de la ville avec d’autres
communes
de Suisse, Belgique, France, Algérie, Allemagne. L’action européenne
69
certaines techniques particulières (jumelages de
communes
, bibliothèques populaires, films documentaires) ; 2° de confronter le
70
nter les expériences en cours, de les discuter en
commun
, et de mieux définir ainsi les tâches précises et l’esprit qui doit l
71
Association ayant pour but notamment de lancer en
commun
une « collection européenne » comportant des ouvrages variés sur les
72
ionnelle (CECA, Marché commun, Euratom, assemblée
commune
) ; la tactique de pression politique (mouvements de militants, propag
73
leur proposant des tâches concrètes à résoudre en
commun
dans leur domaine, au-delà des impasses nationales, c’est-à-dire à l’
74
ui peuvent les grouper et qui appellent un effort
commun
ne sont pas nationales mais humaines, et ne prennent leur plein sens
75
nscience nécessaires et préalables à toute action
commune
, tandis qu’une quatrième pense qu’une technique adroite, modifiant l’
76
la situation européenne Si l’on met en facteur
commun
les risques des quatre méthodes, on découvre qu’ils se ramènent à une
77
n’ont donc de chances sérieuses d’aboutir au but
commun
que toutes ensemble. Approuver les quatre méthodes simultanément peut
78
ne Europe fédérée, capable de mener une politique
commune
au plan mondial, pourrait seule négocier avec force et succès la solu
79
argée de doter nos peuples d’un pouvoir politique
commun
. Le problème de l’union politique domine tout. Or c’est là justement
80
formes d’enseignement nouvelles et d’une mise en
commun
de nos meilleures forces à l’échelle européenne. En effet, les dernie
81
cultés), les cours généraux sur l’Europe seraient
communs
pour tous les étudiants. Le même personnel administratif pourrait éga
82
ropéen d’enseignement postuniversitaire ; mise en
commun
de leurs cours généraux d’une part, et de leurs services administrati
83
ent les artistes, plus ou moins séparés de la vie
commune
. Au xxe siècle, la culture tend à devenir une sorte de way of life.
84
s des pays différents dont il expose les intérêts
communs
. Quant au problème de l’éditeur, il consiste d’abord à découvrir ce
85
ationale du Livre, à Francfort : « … choisir d’un
commun
accord et publier simultanément des ouvrages littéraires, encyclopédi
86
s de son histoire ne s’expliquent que par un fond
commun
… Qui veut écrire l’histoire de l’Europe doit commencer par les hérita
87
e. C’est avec sa deuxième partie, les Expériences
communes
, que Brugmans aborde vraiment la « réinterprétation » annoncée. Et ce
88
à coopérer et bientôt conditionnent des réflexes
communs
. La seconde consiste à inculquer d’une manière massive des jugements
89
éparatoires étaient terminés : choix des régions,
communes
ou circonscriptions scolaires, — plans détaillés de chaque expérience
90
mmunauté de destin historique, et de leur mission
commune
dans un monde transformé par leur faute et par leur mérite. Voilà déf
91
en favorisant leurs échanges et leurs opérations
communes
; d’autre part, de donner à l’ensemble ses meilleures chances de rayo
92
chrétienne, critique et scientifique, et qui est
commune
à tous nos peuples, se trouve cloisonnée par des barrières de préjugé
93
lieu où l’on se préoccupe de poser les problèmes
communs
et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus tard, 1955
94
orces culturelles, et le besoin de représentation
commune
de ces forces vis-à-vis du reste du monde, nous appellent et nous pou
95
t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas
commun
dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
96
corporelles, comme on le discute à la Chambre des
communes
? Faut‑il laisser plus de place à la spontanéité anarchique de l’enfa
97
e fédérer nos peuples et les doter d’institutions
communes
, il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
98
e européen dont il est une province. Problèmes
communs
et déficiences communes Ces variations ou oppositions nationales p
99
une province. Problèmes communs et déficiences
communes
Ces variations ou oppositions nationales perdent d’ailleurs beauco
100
e l’enseignement civique en Europe, ses problèmes
communs
et ses déficiences communes. Mes remarques introductives n’ayant d’au
101
Europe, ses problèmes communs et ses déficiences
communes
. Mes remarques introductives n’ayant d’autre but que d’orienter le le
102
conomiques. Cette difficulté et cette déficience,
communes
à nos enseignements civiques nationaux, vont apparaître beaucoup plus
103
it pas à inspirer et diriger une action politique
commune
, surtout lorsqu’il s’agit de regagner l’indépendance non point contre
104
devînt pas un obstacle à la conduite d’une guerre
commune
contre Hitler. Partageant les idées de Retinger, le général Sikorski
105
Pays-Bas. Dans la genèse de tant d’autres actions
communes
, fondées sur le principe du groupe complexe d’influences et de compét
106
ma femme, à propos de projets que nous avions en
commun
, lui dit : « l’année prochaine », il répondit très vite comme on sign
107
e à les faire servir, comme malgré elles, au bien
commun
. Sa franchise également paraissait incroyable : elle était si directe
108
rcés, depuis onze ans, de réunir en vue de tâches
communes
ceux qui veulent agir et parler en tant qu’Européens, membres d’un mê
109
r tel ou tel aspect de la culture fondamentale et
commune
. Quelles seront alors les fonctions possibles d’une métropole en géné
110
elles entre ces interlocuteurs. — des entreprises
communes
, idéologiques ou pratiques : défense de la liberté ; recherche d’une
111
: défense de la liberté ; recherche d’une éthique
commune
; examen de problèmes politiques et sociaux replacés dans le contexte
112
érique du Nord, Amérique latine, Russie. Éléments
communs
: race blanche dominante, tradition chrétienne, origine culturelle eu
113
ar deux fois, et n’a donc pas encore de politique
commune
, répondant à sa vocation, à l’égard des régions différentes de la pla
114
nent. Il est difficile de trouver un dénominateur
commun
aux problèmes de l’Inde et à ceux du Japon, par exemple, ou de la Chi
115
er, de se connaître, et d’entreprendre des tâches
communes
. VI. Vers la création de centres culturels régionaux Les consid
116
buer à définir et à mettre en lumière les valeurs
communes
propres à toute une région, étudier les problèmes spécifiques de cett
117
s de sa culture — Séminaires sur les problèmes
communs
à tous les pays de la région : intégration économique ou politique ;
118
culture de la région, et dégageant les caractères
communs
à tous ses peuples ou pays. Ces ouvrages seraient ensuite traduits da
119
bien d’autres raisons d’être optimiste.) Défauts
communs
à la plupart de ces ouvrages : ils sont écrits à la hâte, pour « coll
120
s d’études, collections, traductions, éditions en
commun
. L’échec d’une première tentative, entreprise par le CEC voici cinq a
121
e fédérer nos peuples et les doter d’institutions
communes
, il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
122
qu’il n’a pas encore d’institutions, de politique
commune
et de gouvernement ? Point d’Europe sans civisme européen. Mais point
123
de Babel : la disparition rapide de toute langue
commune
, remplacée par une multiplicité de langages spéciaux de moins en moin
124
évanouissement progressif de la conscience du but
commun
, des fins dernières de l’entreprise, qui se perdent dans les nuées de
125
ées de l’inconcevable. Mais dire que tout langage
commun
se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir, c’est d
126
ns cesse multipliées du savoir, c’est dire que la
commune
mesure d’une civilisation est en train de s’évanouir — j’entends par
127
, qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de langage
commun
, et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que cela v
128
disciplines diverses n’ont souvent plus guère en
commun
que des platitudes quotidiennes ou des préjugés mutuels hérités de co
129
té de ses recherches sans références à un langage
commun
. Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre
130
existence communautaire et de tout bon travail en
commun
, l’on sera conduit à préférer la multiplication de petites université
131
nt la bibliothèque et les salles de colloques. La
commune
, gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’exterritoriali
132
’impose pas une image du monde : on la cherche en
commun
, librement. Au sein des colloques, règne une liberté spontanément dis
133
tais jugé digne de participer aux activités de la
commune
. 1. Les options fondamentales des grandes cultures, notamment de la c
134
mmes qui méditaient sur la nécessité d’un langage
commun
aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descartes dès
135
éclat la prise au sérieux, la prise de conscience
commune
du problème symbolisé par l’ellipse Europe-Monde. Le groupe a commenc
136
tales et se concertent pour adopter une politique
commune
. Les uns nous mettent en garde contre notre orgueil, notre impérialis
137
uissent paraître, ces cinq rapports ont une vertu
commune
qui est de mettre en question les clichés de l’économisme pur et d’un
138
les plus divers par leur culture, à une sorte de
commun
dénominateur matériel ou physique, obtenu par réduction ou éliminatio
139
st la participation active de l’individu à la vie
commune
, qu’il s’agisse du cercle familial, professionnel et communal pour co
140
doit donc d’une part initier l’enfant aux règles
communes
, d’autre part le préparer à la libre initiative personnelle. Ces deux
141
our un Européen, c’est sa participation au trésor
commun
des œuvres créées depuis des siècles par l’esprit des Européens. Mais
142
on de l’Europe et à la formation d’une conscience
commune
— condition préalable de tout civisme européen — c’est le nationalism
143
qui ne résulte de mille échanges, tissant l’œuvre
commune
des Européens ; et il n’en est pas une seule que l’on puisse étudier
144
t d’une différenciation (souvent tardive) du fond
commun
de la littérature européenne. Dans ce domaine en tout cas, nous n’avo
145
passé, lequel conditionne et permet notre avenir
commun
. 3. Éléments de notre unité Les agents formateurs et spécifiant
146
donc spécifiquement européen. Quant aux éléments
communs
, relevons : a) Les civilisations que nous continuons. — Égypte, Mésop
147
procédés rhétoriques, structures. — Là, tout est
commun
: l’épopée, le roman d’aventures, puis d’amour ; la ballade, le sonne
148
tres, je veux dire sans racines ou « antiquités »
communes
. Trois Indiens dont l’un parle urdu, l’autre canada, un troisième tam
149
n, il y avait déjà la littérature et les éléments
communs
énumérés plus haut suffisent à constituer son unité, tant structurell
150
nullement à ne plus avoir qu’une seule allégeance
commune
; elle signifie bien au contraire une pluralité des allégeances. Il e
151
e la Manche, bénéficiant à la fois d’institutions
communes
(comme les cantons suisses) et de voix distinctes aux Nations unies (
152
surer le développement de toutes leurs régions et
communes
— trop grands pour que leurs citoyens puissent y exercer normalement
153
uve ici son application majeure : Développons en
commun
ce qui est neuf. Laissons de côté les héritages du passé dont l’unifi
154
de régions « immédiates à l’Europe » — comme les
communes
libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là
155
es problèmes trop complexes pour les institutions
communes
, enfin c) reste subordonnée à l’existence réelle des cent régions, qu
156
dont il les a frustrées. 73. Déjà, le député aux
communes
du parti séparatiste écossais annonce que « d’ici trois ans » son pay
157
t-cinq États et installation d’un cordon douanier
commun
, par exemple.) Il n’y a qu’une transition du projet au succès : c’est
158
es utilisables en ce domaine (unité d’habitation,
commune
, région, groupe de recherches) et les moyens requis pour les constitu
159
uelles ou affectives, qui n’ont pas de frontières
communes
, et souvent pas de frontières du tout. Si l’on exigeait que tout cela
160
ement d’un pays, c’est entre les provinces et les
communes
: faute de quoi la vie politique abandonne les extrémités pour le cen
161
ion du pouvoir entre les échelons géographiques :
commune
, province (région), fédérations restreintes, enfin fédération de fédé
162
il a vite fait de les réduire à leur dénominateur
commun
: la bureaucratie du Parti régnant. Bismarck reste le maître « object
163
ées par des populations de langues et de coutumes
communes
, sont liées d’une manière beaucoup plus stable dans le temps à des te
164
art et de pensée : c’est l’unité de notre culture
commune
. Mais qu’en est-il de nos diversités tant vantées, et à juste titre ?
165
Proudhon) à tous les étages communautaires, de la
commune
à la fédération continentale, puis mondiale. L’État supérieur (fédéra
166
veau communautaire — du plan d’urbanisation d’une
commune
aux options sur le budget de la recherche fondamentale à l’échelon eu
167
pourrait être fait à l’échelon régional : lycées
communs
là où la langue est pareille, lycées bilingues, écoles techniques et
168
sme commence au respect des forêts. VII. De la
commune
à l’Europe par la région Tous les problèmes régionaux — qu’ils soi
169
nt liés en fait à des problèmes continentaux. Une
commune
, une région, n’ont pas les moyens de recherches requis, dans aucun de
170
s proche de la personne, c’est en fait partir des
communes
. Chacune des régions fonctionnelles que nous avons énumérées serait a
171
nsi formée, administrativement par un syndicat de
communes
. (Elles seraient abonnées à la région écologique, par exemple, comme
172
’ouverture des débats. Et cependant, une doctrine
commune
, des plus précises, se dégage des cinq documents dont on vient de lir
173
a région frontalière se définit par l’exercice en
commun
de part et d’autre de la frontière, de fonctions similaires ou complé
174
si formée, administrativement, par un syndicat de
communes
. » 2. La commune, cellule de base de la région. Comment définir une
175
ativement, par un syndicat de communes. » 2. La
commune
, cellule de base de la région. Comment définir une région, si ce n’es
176
tionnelle sera simplement celle de l’ensemble des
communes
pour lesquelles un problème fonctionnel se posera, et qui choisiront
177
soi, également, à mes yeux tout au moins, qu’une
commune
pourra se rattacher à autant de syndicats différents par l’étendue et
178
alléables », l’intervention du pouvoir local, des
communes
d’abord, « peut être décisive, car, malgré tout, plus souple et plus
179
e territoire d’un autre pays », ou « groupant des
communes
de part et d’autre de la frontière ». Cette recommandation unanime s’
180
qualité et de la participation civique, donc des
communes
et des régions, une Europe fédérale qui peut être l’innovation majeur
181
uels devaient conduire à une politique économique
commune
à tous nos pays, et pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980. 3e
182
s au plan européen, débattront de leurs problèmes
communs
, et arrêteront d’un commun accord des mesures correspondant à leurs c
183
nt de leurs problèmes communs, et arrêteront d’un
commun
accord des mesures correspondant à leurs circonstances propres, mais
184
n, L’Ordre nouveau oppose la fédération à base de
communes
groupées en régions. En 1949, Bertrand de Jouvenel publie son grand o
185
mes, qui ne sont plus tenus ensemble que par leur
commun
servage envers l’État ». Depuis quelques années, le terme d’État-nati
186
le terme d’État-nation paraît entré dans l’usage
commun
des politologues anglo-saxons de tous bords (« Nation-State » dans To
187
la région n’était pas la moindre. 121. Rien de
commun
avec le mouvement de tendance fasciste qui a usurpé ce titre en 1968
188
t), mais plutôt qu’on pourrait l’attribuer à leur
commune
formation bâloise d’historiens scrupuleux mais imaginatifs, héritiers
189
ens puissent enfin prendre en main leurs affaires
communes
— qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques, écologiques
190
ut être libre et responsable qu’à l’échelle de la
commune
. (Tocqueville l’a bien vu et bien dit.) C’est une question de dimensi
191
autaires. La société des personnes autonomes, des
communes
en autogestion, des régions fédérées, voilà le But. Cette société ser
192
és de participation des citoyens à leurs affaires
communes
, qui est la seule prévention efficace contre la délinquance générale