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cherche réellement à les résoudre dans l’intérêt
commun
, — et non pas à répéter à tout propos le credo trop connu d’un parti.
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int de représentation des peuples. Un seul organe
commun
, la Diète, sorte de Comité des ministres, composé de plénipotentiaire
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gna Charta et du Pacte du Grütli, de l’esprit des
communes
, des états généraux, et du Serment du Jeu de Paume… Ce grand passé, M
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is et même les Irlandais, pensent de ces origines
communes
… Le point de vue politique des Dominions n’est pas celui de l’auteur
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leurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un ami
commun
de ce que j’habite à Ferney : « Est-ce que Voltaire ne vient pas lui
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partir du moment où ils disposeraient de l’armée
commune
sans laquelle toute neutralité reste illusoire. L’Amérique n’aurait r
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entente entre les hommes, je veux dire un langage
commun
. On a reconnu l’expression qui revient par deux fois, fortement souli
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mot : causons ! D’où l’accent mis sur le langage
commun
. Il existe en fait deux moyens d’instaurer un langage commun. Le prem
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existe en fait deux moyens d’instaurer un langage
commun
. Le premier est la force brutale : c’est le vainqueur qui impose à to
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i trancha. Le second moyen d’instaurer un langage
commun
, c’est le dialogue. Or un dialogue réel suppose deux conditions. Il s
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res préjugés et attitudes, en vue d’une recherche
commune
— autrement l’on n’aurait qu’une suite de monologues. Or ces deux con
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du monde, et suppose une foi dans leur fondement
commun
, « fondement de l’être dans le monde, à savoir Dieu ». Ces derniers m
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nt pas l’objet d’un problème, mais « le fondement
commun
du monde et de notre existence dans le monde », la question de savoir
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al et ne le comprend pas toujours ? Nous avons en
commun
le souci du bien public et cherchons à le servir chacun à sa manière.
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particulières de la littérature par exemple, sont
communes
à tous les Européens. Vous trouvez dans toute l’Europe des romans, de
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ors de l’Europe. Les grandes écoles d’art ont été
communes
à tous nos pays, l’art roman, le gothique, le baroque, le classique,