1
us cherchons naturellement à créer une conscience
commune
de l’Europe et de sa situation actuelle dans le monde. On peut appele
2
dans le monde entier. Si l’on cherche les traits
communs
aux esprits créateurs qu’a engendrés la Suisse, on trouve presque tou
3
du genre humain » (Mantelle et Brun, 1816). Lieux
communs
, mais tellement obnubilés par la religion du seul progrès occidental
4
urd’hui si actuelles de région, d’autogestion des
communes
et des entreprises, et de service civil conçu comme une relève de la
5
tre chose que par le refus périodique des mesures
communes
que l’on propose. Refus qui s’adresse simultanément à la fédération (
6
ats-nations, ajoutant à l’absurdité de frontières
communes
imposées à des réalités hétéroclites la médiocrité de l’horizon. Elle
7
Marx se voient renvoyés au néant noétique de leur
commun
matérialisme. En désaccord avec Deshusses sur l’interprétation éthiqu
8
conclu entre « les hommes de la vallée d’Uri, la
commune
de la vallée de Schwyz et la commune de ceux de la vallée inférieure
9
ée d’Uri, la commune de la vallée de Schwyz et la
commune
de ceux de la vallée inférieure d’Unterwald ». C’étaient les trois «
10
e inférieure d’Unterwald ». C’étaient les trois «
communes
forestières » qui occupaient les approches par le nord du col du Goth
11
e mutuelle, juré en 1291, « statué pour l’utilité
commune
et devant, s’il plaît à Dieu, durer à perpétuité ». Autour de ce prem
12
tres entités politiques : villes libres d’Empire,
communes
autonomes urbaines et rurales groupées en petites républiques oligarc
13
droits des confédérés, accroître leur prospérité
commune
. » L’article 3 précise que « les cantons sont souverains, en tant que
14
et toujours en partant des plus petites unités :
communes
, ateliers, coopératives. C’est ce que le diplomate américain D. Moyni
15
t de l’idée de service civil. Nous avions tous en
commun
cette définition de l’homme vraiment humain : une personne responsabl
16
alors que le projet doit partir des citoyens, des
communes
, des régions, c’est-à-dire d’en bas. Le sénateur David Moynihan, qui