1 mme Nietzsche, avec lequel il a pas mal de traits communs , Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le s

2 même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en commun des difficultés intimes, d’entrer dans le concret du christianisme. U

3 e de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse commune . Le mérite capital de cette vision totalitaire du réel, c’est qu’elle

4 autres personnages, des foules aux foires, la vie commune du bourg et des paroisses. C’est vraiment toute l’humanité suscitée e

5 ent plus se supporter au bout de trois ans de vie commune dans la forêt et qui, Tristan ayant épousé Iseut aux blanches mains,

6 z-vous que cela puisse embellir, faciliter la vie commune  ? Certes, non. Mais aujourd’hui, les jeunes gens et les jeunes filles

7 responsables les unes des autres devant le danger commun . Nous serions ainsi 350 millions d’Européens solidaires, ce qui repré

8 unité paradoxale consistant dans la seule volonté commune à tous de refuser l’uniformité. Où sont les candidats à la relève ?

9 Roger Bacon. Tout cela formait une grande culture commune , bien antérieure à l’idée même d’État-nation. Mais dira-t-on, le mot

10 seulement les formes et les mots dérivés de leur commune origine indo-européenne, mais encore tout ce que leur histoire y ajou

11 art et de pensée : c’est l’unité de notre culture commune . Mais qu’en est-il de nos diversités tant vantées, et à juste titre ?

12 remettent en question et renouvellent les données communes . Or dans ce jeu entre les grands courants et les foyers locaux, entre