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ue formulèrent les romantiques allemands. Rien de
commun
avec un Renan, un France. a. « Les Éléments de la grandeur humaine,
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romantiques et de frissons anarchiques. Le thème
commun
, c’est sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on préfèr
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a mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce point
commun
, « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communisme qui règne au j
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s leur habitus individuel bien plus que dans leur
commune
grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions
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t divergentes, une attitude humaine qui me paraît
commune
. Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses grandes et secrètes »
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ours renouvelées. Mais il y faut une prudence peu
commune
, et même tellement soutenue qu’elle informe peu à peu une sorte d’ins
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les deux termes, faute d’être assumés sur le plan
commun
de la conscience où ils s’exalteraient en s’opposant franchement, tir
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in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en
commun
avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
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re 1932)i Est-il possible de définir une cause
commune
de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
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; et certains de leurs objectifs respectifs sont
communs
… Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un véritable acte
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historique capital sur lequel se fonde l’attitude
commune
des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes ou chrét
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a se plaindre à son député. Lequel interpelle les
communes
. Qui à leur tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’École s
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et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des
communes
. (Gazette de Francfort, du 31 juillet). On dirait une « histoire idio
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à un autre, car où est l’étalon, où est la mesure
commune
, et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est ri
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partout évanouissant n’en est pas moins le sens «
commun
» — voire même, par antiphrase, le sens « courant ». Dans cette affai
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par la politique, ont peu à peu fait passer pour
communes
des significations qui à vrai dire, et dans le fait, ruinent les base
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art des distinctions que formule la Somme — usage
commun
et gestion personnelle des biens, nécessaire vital et nécessaire pers
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ar cet argent de l’autre devient dans ce cas bien
commun
.) Mais je ne sache pas qu’on ait jamais songé à des théories de ce ge
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ndes qui n’ont jamais eu de contact, ni jamais de
commune
mesure ? Je reviens à mes pages, bien décidé à les refaire de fond en
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ipe de toute culture véritable n’est-il pas cette
commune
mesure, sinon de raisons formulables, du moins… d’angoisse, ou de vis
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éant pour n’avoir pas été capables de fédérer nos
communes
. » Voilà l’épigraphe de l’ouvrage, qui par ailleurs compose bien d’au
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discussions pèchent par l’absence d’un élément de
commune
mesure : d’où l’impression d’entrave, de cauchemar. Impossible de sav
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ur prêtait. Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur
commune
vulgarité, le triomphe perd toute saveur. Il faut détruire maintenant
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technique, par exemple) une origine ou une visée
communes
, révélant un principe de cohérence parmi tant de contradictions ? L’u
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en niant sa parfaite humanité : c’est l’intention
commune
à toutes les hérésies gnostiques, manichéennes ou docétistes. Plus ta
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pe, mais s’il est une croyance qu’ils ont tous en
commun
c’est la croyance à la métempsycose, à la transmigration des âmes. Or
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par Don Juan contre les conventions de la morale
commune
— qu’il est déjà trop « spirituel » pour respecter — mais aussi contr
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ssentir l’ultime secret. (Ici, donc, toute morale
commune
ou rationnelle, non strictement personnaliste, ne peut évidemment que
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e contre l’illusion, qu’ils l’ont mise en facteur
commun
dans tout ce qui existe ; (à tel point que le seul fait d’exister dev