1
bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au
commun
des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
2
n de tout ce qui n’est pas l’État : départements,
communes
, corporations, familles, individus. Dans le premier cas il doit accom
3
vice civil de l’autre. Tension organique entre la
commune
et la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Les principes
4
hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche
commune
, soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
5
ment15. Empressons-nous de dire qu’il n’a rien de
commun
avec le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Pl
6
ganiquement articulé, c’est-à-dire dominé par une
commune
mesure. 3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique,
7
ommune mesure. 3. — La culture ayant une mesure
commune
avec l’économique, le social et le politique, la création intellectue
8
ou de quelque plan étatique, mais à partir d’une
commune
mesure et pour des fins dernières identiques. 4. — L’autorité cultu
9
glorification sans réserve de l’écrasement de la
Commune
fédéraliste, et à l’exaltation de l’étatisme actuel. Serait-ce tout s
10
à la question, n’indique d’urgence une direction
commune
, les anciennes habitudes vont se réveiller, et la houlette de Léon Bl
11
Il est temps de donner à ces troupes une volonté
commune
constructive, un programme qu’elles puissent opposer aux entreprises
12
de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front
commun
allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front so
13
er la fidélité au parti avant la fidélité au bien
commun
de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
14
itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien
commun
. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
15
rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans
commune
mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
16
’État — secteur organisé — et de la nation, idéal
commun
. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
17
e réponse efficace, donneront du même coup un but
commun
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
18
nt enfin une base et une perspective et un avenir
communs
à la politique, à la culture, à toutes forces créatrices de ce pays.
19
d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de
Commune
ou d’Europe, comme c’est l’usage, ne répondent que par des injures à
20
vivement engagée, que tout nous porte à souhaiter
commune
. Quelle que soit notre méfiance à l’endroit des synthèses tactiques o
21
enant il faut donner à toute l’Allemagne un idéal
commun
, des haines communes, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’app
22
r à toute l’Allemagne un idéal commun, des haines
communes
, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’appuiera sur une mystiqu
23
— Là encore, Hitler va trouver une base de haines
communes
sur laquelle puisse s’unifier la nation. Le Diktat de Versailles, sig
24
une civilisation dont la seule raison d’être (ou
commune
mesure) fut la puissance matérielle la plus basse, et dont le moyen f
25
tre les famines locales. Développé en vue du bien
commun
, le commerce renaissant pouvait amener une spécialisation relative de
26
verain des conflits sociaux, et la notion de Bien
commun
national s’est substituée à celle du bien particulier de la corporati
27
ration, de la classe ou de la ville. Mais ce Bien
commun
est entendu au sens de Bien de l’État, c’est-à-dire du Prince. Et ce
28
s-nations, incapables de trouver une forme de vie
commune
et féconde. 60. Augmentées encore par la large part de butin que l
29
s qui incarneront dans la réalité sociale notre «
commune
mesure »75. Prévoir dès aujourd’hui ce que seront ces actes, ce serai
30
nnaire devrait rendre manifeste l’existence d’une
commune
mesure dans la société. Sans vouloir entrer ici dans l’étude détaillé
31
ntrer ici dans l’étude détaillée de cette idée de
commune
mesure, pour laquelle nous renvoyons à l’ouvrage déjà cité (voir note
32
ns cependant quelques traits caractéristiques. La
commune
mesure d’une société doit être considérée non comme un élément « donn
33
race pour les nazis). D’une manière générale, la
commune
mesure ne doit pas être considérée comme une vis a tergo qui poussera
34
met aujourd’hui d’en témoigner. Le principe de la
commune
mesure n’est donc pas un principe statique déterminant ; il est un pr
35
créant en tant que personnes dans une perspective
commune
. Ce principe de communion ne consiste cependant pas en une sorte d’ém
36
dire d’une manière continue. L’élaboration d’une
commune
mesure ne saurait être le fait de ce qu’on appelle les « masses » qui
37
n française a eu ses clubs ; 1870 a vu naître les
communes
révolutionnaires ; en 1917, les Soviets se sont dégagés de l’efferves
38
été conçues et en vue de la réalisation des fins
communes
de la Révolution permanente. De ce point de vue, on peut dire que le
39
ales, ou religieuses ou non religieuses, dans les
communes
et les fédérations de communes. Il n’est pas nécessaire, il serait mê
40
igieuses, dans les communes et les fédérations de
communes
. Il n’est pas nécessaire, il serait même totalement absurde, de voulo
41
totalement absurde, de vouloir imposer une mesure
commune
extérieure et unifiée à une fédération dont le principe commun est ju
42
eure et unifiée à une fédération dont le principe
commun
est justement « personnaliste », c’est-à-dire à une fédération dont l
43
onisons, on ne peut envisager leur fonctionnement
commun
sans l’espèce de contrepartie que constitue pour nous l’autorité spir
44
ivil et travail qualifié ou dans la tension entre
communes
autonomes et organes administratifs centralisés. Or, l’existence conc
45
aines réelles et fécondes. 75. Sur la notion de
commune
mesure, cf. D. de Rougemont, Penser avec les mains , Albin-Michel, 1