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tre part, elles définissent suffisamment la cause
commune
de la jeunesse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun c
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sse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est
commun
comme le péril qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la comm
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qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la
commune
condition humaine et sa défense contre un système dont l’action disso
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inséparable d’un ordre humain total. b. « Cause
commune
», Présence, Lausanne et Genève, n° 2, avril-juin 1932, p. 12-15. Pré