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es, nous trouvons tous, nous les Européens, notre
commune
dignité et notre risque le plus cher. Telles sont nos maladies. Telle
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, économiques, sociaux) au service de la vocation
commune
à tous nos peuples, le monde entier verra que l’Europe c’est l’espoir
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é vers la restitution d’un classicisme vif, d’une
commune
mesure élargie ? Ces problèmes et bien d’autres se trouvent posés, pa
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rs ». Donc libérer, non plus forcer dans le moule
commun
: voilà l’Europe et sa révolution. L’Oriental (je pense aux Hindous p
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t du moi. Quant aux Américains, ils ont certes en
commun
avec nous l’héritage de la littérature, vulgarisé par Hollywood. Mais
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rs de sa mère. Il ne peut prendre son parti de la
commune
condition humaine. Une incurable mélancolie le possède et lui fait tr
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de hardiesse et de fierté, mais inaptes à la vie
commune
, à cause d’une mystérieuse mélancolie qu’ils dissimulent sous un masq
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ticipation à la vie, le signe de l’accession à la
commune
condition humaine, c’est à leurs yeux la femme, l’amour et le mariage
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oir que c’est renoncer non seulement aux recettes
communes
du succès, mais à toute justification devant l’opinion, et même, dans
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entre certaines activités culturelles et le bien
commun
des peuples ou du groupe de nations considéré). S’il fallait résumer
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pter sur tous les autres lorsque notre patrimoine
commun
est en jeu, lorsque la science libre est menacée.” Le célèbre physici
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t disposer, à la seule condition de les mettre en
commun
. Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition p
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etracé d’abord la courbe générale d’une réflexion
commune
, bien que menée par des esprits aussi divers que le sont nos peuples
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dans les six thèmes proposés, l’idée d’un destin
commun
de tous les peuples de l’Europe, défini par leur unité incontestable
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as ensemble leur salut. La recherche des origines
communes
à tous les peuples de l’Europe, nous l’avons faite sous la conduite m
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d’une culture nouvelle et des bases d’un langage
commun
. Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouvernement
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que nous avons changé, et elle a formulé les buts
communs
susceptibles de nous unir. Car ce ne sont pas seulement leurs origine
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nce mutuelle, et d’une morale civique européenne,
commune
aux deux familles d’esprits. Devant la contradiction apparente entre
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ructures supranationales, permettant de mettre en
commun
ce qui doit l’être normalement, afin de garantir et de faire vivre mi
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e politique, et de regagner par l’exploitation en
commun
de nos propres richesses ce que nous perdons en apports extérieurs. L
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ope dans le Monde. — Dès que l’on parle du destin
commun
de nos pays, des voix s’élèvent pour dénoncer je ne sais quel « natio
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e bien particulière, dont les principes nous sont
communs
depuis des siècles. Cette culture est le cœur d’une civilisation qui,
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t au contraire sur l’unité foncière de l’histoire
commune
des Européens que se détachent, apparaissent, et disparaissent, les n
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riand, comme « une des formes politiques les plus
communes
employées par les sauvages ». (Ceci après avoir précisé, au mot fédér
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nés ». Les richesses de Byzance, enfin « mises en
commun
», furent emportées par l’occupant. Il dépend de vous, Messieurs de l
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n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir
commun
de leurs peuples. Deux mois plus tard, tout est déjà changé. L’Occide
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c’est supposer quelque manière d’école, de style
commun
, de ton d’époque dont je n’aperçois pas de témoignages concluants au
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dodécaphonistes, mais justement ils n’ont rien de
commun
, ne veulent rien garder de commun avec les autres musiciens de l’époq
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s n’ont rien de commun, ne veulent rien garder de
commun
avec les autres musiciens de l’époque. La célèbre querelle qui opposa
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n le paradoxe. S’il est tout de même un caractère
commun
aux compositeurs d’aujourd’hui, c’est qu’ils sont justement moins « m
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ne voix sévère et fraternelle, avec une force peu
commune
. C’était la voix d’un homme, austère et bon. L’art de simplifier les
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et le revêt d’une vocation. L’individu arraché du
commun
par un souverain caprice de la Minne, aussitôt ne s’appartient plus.
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u vocation, transcendante par rapport à la morale
commune
et aux « intérêts de l’État ». Ainsi, le type du révolutionnaire euro
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ce qu’elle a de moins chrétien. Aucun des traits
communs
qu’on vient d’énumérer n’est proprement évangélique. C’est l’ambition
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ensemble où elles se composaient dans une tension
commune
vers la résolution toujours fuyante. Toutes les trois sont le résulta
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uelle nous sommes nés embarqués. Un dernier trait
commun
à toutes les trois achèvera de mettre en lumière leur relation congén
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n partant de la Révélation. Elles procèdent d’une
commune
origine, dont le grand modèle historique fut montré comme objet de la
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’ajouter une prime de moralité au produit de leur
commune
exploitation du peuple, personne ne songe à contester à ces joyeux et
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ns nulle opposition, l’honneur et le sens le plus
commun
de la justice, sous l’œil intéressé des masses du monde entier, — pou
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t se dresser Nasser. Au vrai, ces hommes n’ont en
commun
que les réactions qu’ils provoquent chez les démocrates libéraux, réa
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question que l’URSS et les États-Unis lancent en
commun
des lunes artificielles. Un rocket nommé Coexistence ira porter dans
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leurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un ami
commun
de ce que j’habitais à Ferney : « Est-ce que Voltaire ne vient pas lu
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a Hongrie, l’indication d’une attitude qui serait
commune
aux actuels États satellites dès l’instant de leur libération. Ces ar
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ifique, mais aussi de leur offrir le grand risque
commun
de l’indépendance reconquise, leur paraîtrait sans doute plus attiran
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t de neutrissimes. D’où peut venir cette tendance
commune
à juger des idées sur le vu d’un passeport ? Mon point de vue n’est p
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aire, que le PC soit remis sous l’empire des lois
communes
, et qu’on cesse de le laisser jouir d’un régime d’exception dont il a
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s fiefs. Les Soviets le voudraient aussi. Quoi de
commun
entre cette volonté impérialiste d’un État s’imposant à tous les autr
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à se dire, à supposer qu’ils trouvent une langue
commune
. Cela n’empêche pas la fédération suisse de tourner rond : elle n’est
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lite des Nations unies, dont le seul dénominateur
commun
ne saurait être que l’ignorance de la nature et du nom même des réali
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le ricanement. R. — C’est en effet la convention
commune
à l’extrême droite et à la gauche. À l’exception du seul Kipling peut
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. Je connais ces auteurs. Je ne leur vois rien de
commun
. Deux sont morts et pas un n’est un « jeune »… R. — Mais pas un seul
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auche qui s’y opposerait, selon les pays. Facteur
commun
: lâcheté devant l’opinion publique et refus hypocrite de la former,
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est chrétienne, vive le matérialisme ! — Facteur
commun
: le masochisme occidental. 6. — Non, car l’Europe à faire n’est pas
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e est dépassé. Le charbon et l’acier étant mis en
commun
, sans parler de l’énergie atomique, si les Français et les Allemands
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us ou moins raisonnables, et voilà leur faiblesse
commune
. Car si l’on veut que l’Europe unie soit dotée d’une capitale, c’est
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és — se trouvent situées en un seul et même point
commun
, le Centre de l’univers. Il s’agit là, on s’en rend compte, d’un espa
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en apparence, les quatre grands problèmes ont en
commun
ceci : qu’ils ne pourraient trouver de solutions tout à la fois durab
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d’une authentique fédération, et tous les organes
communs
à ses vingt-cinq États (dont la souveraineté, notons-le, est garantie
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éralisme était une des formes politiques les plus
communes
employées par les sauvages. Chateaubriand. Pendant la révolution, pro
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is il paraît clair que la seule solution qui soit
commune
aux deux problèmes, celui de l’Algérie et celui de l’Europe, n’est au
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l’origine, les buts et la fonction n’ont rien en
commun
, sauf le nom, avec les formations qui se partagent le pouvoir dans le
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des, du prince-président, du Second Empire, de la
Commune
, des Jules, de Delcassé, de Clemenceau, du Front populaire, de Vichy,
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on du mythe qui s’y trahit, et qui est leur seule
commune
mesure. Je ne m’attacherai donc, dans ces trois œuvres, qu’à l’appari
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« interdite » par un roi Marc, qui est la Morale
commune
, la Société ou le Régime — ces trois romans trahissent une même ambig
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e ; ils subissaient, en bravant autrui, ce besoin
commun
de se délivrer enfin de la tristesse du désir, mais le subir avait dé
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t à néant les dires d’experts) soit le seul trait
commun
aux deux ouvrages : elle m’en paraît d’autant plus surprenante. Je vo
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ommuniquer. De là que la forme de passion la plus
commune
, parce que la mieux communicable, soit celle qui fait écrire des roma
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appeler que la France et l’Allemagne ayant mis en
commun
non seulement leur charbon et leur acier, mais encore leurs wagons et
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nous en demeurent : lettres de Rilke à leur amie
commune
, la princesse de la Tour et Taxis, dédicace à Kassner de la Huitième
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t le cas dans trop de nos vies, et retrouvent une
commune
mesure, un style commun. Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais d
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vies, et retrouvent une commune mesure, un style
commun
. Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais désormais, c’est à l’éche
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et de l’admiration pour Schopenhauer, leur maître
commun
. « J’aime en Wagner — écrit-il en 1866 à Erwin Rohde — ce que j’aime
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de la mort lumineuse. Je ne leur vois qu’un trait
commun
: tous deux ont l’épée à la main.123 Ou simplement en quelques mots
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nité ! ») Une certaine dialectique formelle étant
commune
à tous les phénomènes qui relèvent de la vie en général, pourquoi ref
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it-elle dans le défi du Libertin à tout ce que le
commun
des hommes tient pour vrai, nécessaire et sacré ? Lorsque les croisé
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suite de ses gouvernants. Contre cela, luttons en
commun
pour une fédération sincère. 133. 74 % d’opposants en novembre 1962
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utuellement », mais qu’unissent les liens d’une «
commune
législation… et subordination au corps de la république ». C’est une
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d’existence autonome et les nécessités de mise en
commun
ou de création d’instruments communs. C’est dire qu’on redécouvre la
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és de mise en commun ou de création d’instruments
communs
. C’est dire qu’on redécouvre la méthode du fédéralisme authentique. T
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pour l’unité de base, doivent être construits en
commun
avec d’autres régions voisines. Seuls ces réseaux superposés d’interd
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culière obligation d’intervenir en faveur du bien
commun
de l’Europe. Telle serait à mes yeux la mission positive de la Suisse
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essus historique englobant des siècles d’histoire
commune
à tous nos peuples et les diversités que l’on sait, le District fédér
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ditionnelle des valeurs et des réalités d’intérêt
commun
pour l’Europe. De même qu’au xiii e siècle les premiers cantons avaie
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ional. En devenant d’une certaine manière le bien
commun
de toute l’Europe, que perdons-nous ? Les seuls droits dont nous refu
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erches n’aurait l’idée de voir dans cette mise en
commun
une diminution quelconque de leur indépendance, bien au contraire : s
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semblait des plus exaltants. Or il n’est rien de
commun
aux deux doctrines hors le grand ton de rigueur fanatique qui était l
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opéenne, tandis qu’ailleurs on parle de « mise en
commun
des sources d’énergie et de matières premières (charbon, électricité,
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le d’une union économique, c’est-à-dire d’un plan
commun
de production ; la franchise totale des échanges devrait être obtenue
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production de l’Union entière ; il faut mettre en
commun
les ressources d’énergie des marées et d’énergie atomique ; enfin, le
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a pensée de la plupart des résistants, une source
commune
: le mouvement personnaliste, constitué d’abord à Paris dès l’année 1
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tacts réguliers, des études préparant des projets
communs
, et même certains accords, officiellement signés, tendant à une futur
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s mouvements qui le prolongeraient par une action
commune
. 3° Ce préambule devait contribuer aussi à codifier la terminologie d
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n doit fournir le point de départ de notre action
commune
après le Congrès et doit devenir le manifeste de tout le Mouvement eu
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dans une petite salle du palais de la Chambre des
communes
, je me vis en présence d’un groupe presque purement britannique, qui
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onformiste, puisqu’il a su rallier pour une œuvre
commune
les conformistes et les non-conformistes…) « Tout à l’heure, présiden
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droits souverains des nations pour les exercer en
commun
», ou « créer une citoyenneté commune sans que soit perdue pour autan
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s exercer en commun », ou « créer une citoyenneté
commune
sans que soit perdue pour autant la nationalité d’origine ». La contr
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à cause de la phrase : “Nous voulons une défense
commune
”. » Sandys ajouta : « Cette phrase n’a pas été discutée par le Congrè
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ait raison : les rapports demandaient une défense
commune
, mais les résolutions n’en parlaient plus. Je note que le motif de la
100
té rendue à l’usage de l’homme. Il faut mettre en
commun
à l’échelle fédérale continentale, tout ce qui est nécessaire pour ga
101
r l’usager ; distribuer et répartir l’État, de la
commune
et de l’entreprise à la région et aux groupements de régions jusqu’au
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uropéenne — Res publica europaea — fondée sur les
communes
et les régions librement fédérées du continent peut en offrir le modè