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ne s’offriront plus que comme moyens d’une lutte
commune
contre les vraies difficultés, celles que tout le monde connaît et re
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is à travailler, chacun selon sa méthode, au bien
commun
; tandis qu’on les voit aujourd’hui rendre tous les problèmes presque
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fous ne feraient en somme qu’exécuter la volonté
commune
… « Viens, douce mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le soup
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à la mort plus qu’à la vie. La paroisse était la
commune
. Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou trois églises diff
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s qu’un Conseil économique entreprenne la mise en
commun
de nos ressources naturelles. Et nous voulons qu’un Centre de la cult
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gs, opposons à la discipline totalitaire un front
commun
, et à leur propagande une propagande au moins aussi brutale ou insinu
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ons liturgiques, sources du seul langage vraiment
commun
aux écrivains de toutes les langues et confessions dans le domaine oc
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un certain mode de contacts organisés. Cette base
commune
de culture et de civilisation est la condition sine qua non d’une uni
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de protecteur. L’État-nation est donc l’obstacle
commun
aux solutions écologiques et régionales. D’où l’identité d’intérêts p
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ost, alimentation au détail, banques locales, les
communes
(neighborhoods) commencent à retrouver le sens de leur autonomie, à r
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helle continentale, en vue d’établir un programme
commun
aux trois mouvements, et de prévoir des tactiques adaptées aux situat
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s haute dans la tradition biblique très largement
commune
aux trois grandes religions du Livre, la juive, la chrétienne et l’is