1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 té des villes modernes, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la cité d
2 qu’en tant que chrétiens nous échappons aux lois communes  ? Non pas ! Et gardons-nous ici de toute illusion optimiste ! Chrétie
3 a, et personne ne sait où il va. Il n’y a plus de commune mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par un
4 a cité n’est plus dominée par une norme et un but commun . Ce sont les bases culturelles qui sont atteintes ! Et c’est pourquoi
5 n’aura pas reconstruit ces bases, et retrouvé la commune mesure. Donner de la soupe aux chômeurs, c’est très bien, mais cela n
6 ’est bien une tâche spirituelle : retrouver cette commune mesure de la pensée et de l’action, de la culture et de l’économie ;
7 es civilisations, c’est l’histoire de leur mesure commune , de leur règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on veut, pour
2 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
8 é une ère de division, d’absence de parenté et de commune mesure entre idéal et pratique, entre les diverses disciplines de l’e
9 s temps modernes ont toutes cette caractéristique commune  : elles nient la vocation personnelle (que ce soient les collectivism
3 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
10 uvelles, dépourvues de principe d’intégration, de commune mesure, d’ambitions spirituelles, de « dévotion » à rien d’avouable…