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ne d’hommes se réunirent pour tenter de mettre en
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leurs efforts au service du pays. La gravité de l’heure favorisait la
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d dont elles gardaient les cols que les premières
communes
des Waldstätten conclurent leur alliance perpétuelle. Historiquement,
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ps que les bonnes volontés deviennent une volonté
commune
», disait encore le premier Manifeste de la Ligue. Or, une volonté co
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le premier Manifeste de la Ligue. Or, une volonté
commune
suppose en premier lieu une organisation. Le problème de l’organisati
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ipliées entre représentants et des bases d’action
commune
ont été posées dans plusieurs cantons. Des équipes locales de la Ligu
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ragraphes. La vraie confiance naît de la lutte en
commun
pour un idéal entraînant. Enfin, nous sommes prêts à accueillir tous
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de l’esprit d’équipe et de la lutte poursuivie en
commun
se dégageront naturellement les directives d’une action à plus longue
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rganisation de groupes locaux (dans le canton, la
commune
, l’entreprise) ; renseignements et enquêtes ; lutte contre le défaiti
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éraliste dépend de la vitalité des cantons et des
communes
. Celle-ci se voit menacée par un certain capitalisme anonyme et par c
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oivent y remédier. La vitalité des cantons et des
communes
dépend de celle des entreprises et des familles. Nous demandons d’une