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é qu’en un nous. Et ces trois entités ont ceci de
commun
: elles ne sont responsables de rien devant personne, s’étant faites
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u simplement vers le fond de la vallée, où vit le
commun
des mortels. Vous êtes délivré de votre effort, tout est facile, il n
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le démesuré, ni formuler son sens dans un langage
commun
. Il me paraît que nous en sommes à peu près là. L’anarchie sans précé
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ue surtout, suffirait à trahir l’absence de toute
commune
mesure dans notre siècle. Nous avons vu trop grand pour nos pouvoirs,
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respect de la tenue morale, du sacrifice au bien
commun
, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel est devenu notre
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s et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
commun
que les romans et l’opéra nous l’ont fait croire. Je mets en fait qu’
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ntations à la fois les plus sensibles et les plus
communes
. Assez peu d’hommes sont réellement tentés de voler le portefeuille d
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honte, mais le diable y trouve l’occasion la plus
commune
de nous faire abuser de notre liberté. Reste la femme, dont l’homme n