1 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 é qu’en un nous. Et ces trois entités ont ceci de commun  : elles ne sont responsables de rien devant personne, s’étant faites
2 u simplement vers le fond de la vallée, où vit le commun des mortels. Vous êtes délivré de votre effort, tout est facile, il n
3 le démesuré, ni formuler son sens dans un langage commun . Il me paraît que nous en sommes à peu près là. L’anarchie sans précé
4 ue surtout, suffirait à trahir l’absence de toute commune mesure dans notre siècle. Nous avons vu trop grand pour nos pouvoirs,
5 respect de la tenue morale, du sacrifice au bien commun , des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel est devenu notre
6 s et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi commun que les romans et l’opéra nous l’ont fait croire. Je mets en fait qu’
7 ntations à la fois les plus sensibles et les plus communes . Assez peu d’hommes sont réellement tentés de voler le portefeuille d
8 honte, mais le diable y trouve l’occasion la plus commune de nous faire abuser de notre liberté. Reste la femme, dont l’homme n
2 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
9 es empêchent de se réunir pour conjurer le danger commun . Mais dans le fond, ces plaintes ne sont pas fondées. Une coalition e
10 ont subsister qu’en se groupant, qu’en mettant en commun leurs ressources matérielles, afin de préserver et développer leur au
11 mots Mais l’offensive suppose un plan. Un plan commun , clairement déterminé et compris de la même manière par tous ceux qui
12 Une tradition, un droit, une foi et une autorité communes , sont seules capables de définir le sens de ce qu’on appelle les mots