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elle prétend nier l’existence ou l’urgence de la
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mesure qu’elle ne peut concevoir, la raison nous conduit à la folie p
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e que celle de nos morales humaines. Une illusion
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et presque inévitable nous porte à croire que certains actes humains
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onstre avec lequel nous n’avions vraiment rien de
commun
. « Voyez, je ne suis qu’Hitler ! », disait Satan. Nous n’avons vu qu’
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eulement pour sa sécurité mais aussi pour le bien
commun
. Les examens vont se multiplier. On vous engagera sur des chiffres ré
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qu’en un nous. Et ces trois entités ont ceci de
commun
: elles ne sont responsables de rien devant personne, s’étant faites
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u simplement vers le fond de la vallée, où vit le
commun
des mortels. Vous êtes délivré de votre effort, tout est facile, il n
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le démesuré, ni formuler son sens dans un langage
commun
. Il me paraît que nous en sommes à peu près là. L’anarchie sans précé
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ue surtout, suffirait à trahir l’absence de toute
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mesure dans notre siècle. Nous avons vu trop grand pour nos pouvoirs,
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respect de la tenue morale, du sacrifice au bien
commun
, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel est devenu notre
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s et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
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que les romans et l’opéra nous l’ont fait croire. Je mets en fait qu’
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ntations à la fois les plus sensibles et les plus
communes
. Assez peu d’hommes sont réellement tentés de voler le portefeuille d
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honte, mais le diable y trouve l’occasion la plus
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de nous faire abuser de notre liberté. Reste la femme, dont l’homme n
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es empêchent de se réunir pour conjurer le danger
commun
. Mais dans le fond, ces plaintes ne sont pas fondées. Une coalition e
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ont subsister qu’en se groupant, qu’en mettant en
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leurs ressources matérielles, afin de préserver et développer leur au
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mots Mais l’offensive suppose un plan. Un plan
commun
, clairement déterminé et compris de la même manière par tous ceux qui
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Une tradition, un droit, une foi et une autorité
communes
, sont seules capables de définir le sens de ce qu’on appelle les mots