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e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu
commun
. C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
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relative, vouée dès sa naissance à la dégradation
commune
. Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
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de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en
commun
pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
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e. Elles ont encore un autre nom, et qui leur est
commun
à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
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l’individu et la suppression de l’État, sont sans
commune
mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
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ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu
commun
. Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre q
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ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points
communs
, ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
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l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point
commun
de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
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le plan des doctrines, qu’une seule revendication
commune
: l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l
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s termes : Est-il possible de définir une cause
commune
de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
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appuis occasionnels ; et certains objectifs sont
communs
… Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
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in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en
commun
avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
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vice civil de l’autre. Tension organique entre la
commune
ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
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hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche
commune
, soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
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veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en
commun
? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
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uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front
commun
», mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
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iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur
commune
, ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
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es oriente et leur donne à la fois une expression
commune
— des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
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bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au
commun
des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
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; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité
commune
; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
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Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur
commun
sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
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méro une conception spiritualiste qui n’a rien de
commun
avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
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er la fidélité au parti avant la fidélité au bien
commun
de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
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itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien
commun
. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
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rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans
commune
mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
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’État — secteur organisé — et de la nation, idéal
commun
. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
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e réponse efficace, donneront du même coup un but
commun
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
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ront enfin une base, une perspective et un avenir
commun
à la politique, à la culture, à toutes les forces créatrices de ce pa
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la tribu, est lié par le lien du sang, des morts
communs
, et par celui de la terreur sacrée. C’est autour d’un tabou et autour
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ng, la famille — la cité est fondée sur l’intérêt
commun
et les contrats. Alors que la morale de la tribu dicte des devoirs sa
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tes du passé, ni sur des lois, mais sur l’attente
commune
et enthousiaste d’un au-delà libérateur. Ce n’est plus le rêve du ret
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sont pas fondées sur le passé ni sur des origines
communes
. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec », écrit saint Paul. Elles ne tienne
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ve du Royaume, comportant une large autonomie des
communes
à la base, et au sommet, le contrôle du pouvoir royal par un organe p
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édéralisme : la liberté de chacun dans une action
commune
, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’union dans la diversi
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de souligner ici, ce sont deux traits évidemment
communs
à ces régimes : leur opposition brutale au christianisme dès qu’ils s
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aucoup de points, écrit-il, elles offrent ceci de
commun
qu’elles souffrent toutes les deux d’un manque évident et permanent d
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phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien
commun
, phénomène typiquement individualiste69. Un dernier exemple vous fera