1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 cherche réellement à les résoudre dans l’intérêt commun , non pas à répéter à tout propos le credo trop connu d’un parti. Le s
2 du pouvoir personnel, ils choisissent le naufrage commun dans le Détroit des délais ou la Mer des paperasses, aux frais de l’É
3 ou cette action ne va pas dans le sens de l’idéal commun vers quoi tendent les Américains, et qui les fait devenir vraiment Am
4 assimile à des tendances européennes qui n’ont de commun avec lui que le nom. 2. Drugstore, littéralement droguerie, désig
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 groupes religieux qui constituèrent ses premières communes , et pour lesquels croyant et citoyen se trouvaient être, en fait, des
6 la mort plus qu’à la vie.) ⁂ La paroisse était la commune . Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou trois églises diff
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 u passé, d’un capital de souvenirs et d’habitudes communes , dont la rupture du couple entraînera la perte. En Amérique, tout cel
8 entimentales ; l’échange sexuel, par consentement commun , n’engage à rien, ni à l’amour ni au mariage ; affirmation du droit a
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 ment, qui est le seul trait qu’elles possèdent en commun . De fait, New York est une ville de contrastes violents, de populatio
10 talien, tchèque, nègre, juif, etc. — qui n’ont de commun que la saleté et l’ordonnance géométrique des rues. Et le reste des É
11 ulièrement, et l’on admire son dévouement au bien commun .) Mais quand il rentrera dans les affaires, ou se fera chroniqueur, c
12 aine, peut-être, que nous aurions à rechercher le commun dénominateur de nos deux civilisations…   Mais voici la statue de la