1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 ngue, au lieu de mettre en valeur ce qui nous est commun  ; qu’on risque ainsi de nourrir les préjugés, et de forcer, par espri
2 opposition Admettons l’hypothèse d’une origine commune , et d’une famille d’idiomes indo-européens dont le sanscrit serait le
3 ux Aryens. (Elle paraît attestée par les symboles communs aux Dravidiens et aux Crétois : le caducée, l’arbre, la pierre, le se
4 ite hérité de l’ancêtre aryen. Sur l’arrière-fond commun , les différences s’accusent. Elles ne cesseront de s’affirmer dans l’
5 . Ils se fondent sur la négation de nos croyances communes , et de nos institutions. Ils représentent le point d’Orient dans notr
6 ses. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun , et l’usage qu’on en fait n’est pas du tout le même. La foule de Béna
7 de bouddhique, enseigne que la mort étant le sort commun , tuer n’est vraiment grave qu’aux yeux de l’ignorance. Qu’on découpe
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
8 ociales autour d’un grand principe ou d’un espoir commun . Mais le parallèle s’arrête là. Relevons d’abord deux différences de
9 sociales… Je ne m’attacherai, ici, qu’à la forme commune que revêtent les raisonnements de mes contemporains dans les domaines
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
10 et le revêt d’une vocation. L’individu arraché du commun par un souverain caprice de la Minne, aussitôt ne s’appartient plus.
11 u vocation, transcendante par rapport à la morale commune et aux « intérêts de l’État ». Ainsi, le type du révolutionnaire euro
12 ce qu’elle a de moins chrétien. Aucun des traits communs qu’on vient d’énumérer n’est proprement évangélique. C’est l’ambition
13 ensemble où elles se composaient dans une tension commune vers la résolution toujours fuyante. Toutes les trois sont le résulta
14 uelle nous sommes nés embarqués. Un dernier trait commun à toutes les trois achèvera de mettre en lumière leur relation congén
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
15 en niant sa parfaite humanité : c’est l’intention commune à toutes les hérésies gnostiques, manichéistes ou docétistes. Plus ta
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
16 her à toutes les civilisations non européennes un commun dénominateur expliquant cette carence relative de leur curiosité. On
17 rdinand et d’Isabelle ; mais étant seuls vraiment communs aux deux parties, ils furent aussi, et par là même, seuls décisifs :
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
18 n partant de la Révélation. Elles procèdent d’une commune origine, dont le grand modèle historique fut montré comme objet de la
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
19 ions concrètes du Progrès présentent un caractère commun  : elles aboutissent à des antinomies flagrantes aussitôt qu’elles son
20 lture. Définition par la religion : restaurer une commune mesure valable pour l’ensemble d’une civilisation et garantissant l’h
21 ture occidentale90 présentent tous un grand trait commun  : ils ne peuvent être surmontés par la réduction d’un de leurs termes
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
22 ndividualisme anarchique, mais aussi l’esprit des communes , les syndicats et les coopératives. Tout la désigne donc pour fomente
23 avorise paradoxalement la formation d’une opinion commune , tandis que la tradition centraliste romaine produit entre droite et