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le christianisme, de ces cérémonies initiatiques,
communes
à la plupart des autres religions, et où l’on sait que les relations
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n vocable unique, désignant non quelque substance
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, mais un mouvement créateur de l’être, qui se manifeste en elles tout
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me millénaire avant notre ère, et dernier ancêtre
commun
de nos civilisations vivantes ? Ou encore, des symptômes spécifiques
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non point par des lois génériques, préexistantes,
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à tous — et dont certes il est sage de tenir compte — mais par un but
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on du mythe qui s’y trahit, et qui est leur seule
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mesure. Je ne m’attacherai donc, dans ces trois œuvres, qu’à l’appari
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t « interdite » par un roi Marc qui est la Morale
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, la Société ou le Régime — ces trois romans trahissent une même ambig
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e ; ils subissaient, en bravant autrui, ce besoin
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de se délivrer enfin de la tristesse du désir, mais le subir avait dé
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t à néant les dires d’experts) soit le seul trait
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aux deux ouvrages : elle m’en paraît d’autant plus surprenante. Je vo
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ommuniquer. De là que la forme de passion la plus
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, parce que la mieux communicable, soit celle qui fait écrire des roma
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rs de sa mère. Il ne peut prendre son parti de la
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condition humaine. Une incurable mélancolie le possède et lui fait tr
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de hardiesse et de fierté, mais inaptes à la vie
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, à cause d’une mystérieuse mélancolie qu’ils dissimulent sous un masq
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ticipation à la vie, le signe de l’accession à la
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condition humaine, c’est à leurs yeux la femme, l’amour et le mariage
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oir que c’est renoncer non seulement aux recettes
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du succès, mais à toute justification devant l’opinion, et même, dans
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ur prêtait. Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur
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vulgarité, le triomphe perd toute saveur. Il faut détruire maintenant
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et de l’admiration pour Schopenhauer, leur maître
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. « J’aime en Wagner — écrit-il en 1866 à Erwin Rohde — ce que j’aime
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de la mort lumineuse. Je ne leur vois qu’un trait
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: tous deux ont l’épée à la main.49 Ou simplement en quelques mots
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nité ! ») Une certaine dialectique formelle étant
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à tous les phénomènes qui relèvent de la vie en général, pourquoi ref
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it-elle dans le défi du Libertin à tout ce que le
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des hommes tient pour vrai, nécessaire et sacré ? Lorsque les croisé
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es lui seront bons pour éviter le mariage, la vie
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; et faute d’obstacles extérieurs empêchant que l’amour « tourne à ré
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nous en demeurent : lettres de Rilke à leur amie
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, la princesse de Tour et Taxis, dédicace à Kassner de la Huitième Élé
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pe, mais s’il est une croyance qu’ils ont tous en
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, c’est la croyance à la métempsychose, à la transmigration des âmes.
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par Don Juan contre les conventions de la morale
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— qu’il est déjà trop « spirituel » pour respecter — mais aussi contr
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ssentir l’ultime secret. (Ici, donc, toute morale
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ou rationnelle, non strictement personnaliste, ne peut évidemment que
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e contre l’illusion, qu’ils l’ont mise en facteur
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dans tout ce qui existe (à tel point que le seul fait d’exister devie
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un chef réaliste, par une névrose peut-être assez
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et par une foi presque unique, n’est-ce pas commettre une erreur spir