1
ère, il semble bien qu’une sorte de civilisation
commune
se soit étendue à la majeure partie du continent : elle est marquée p
2
cune réalité historique ou psychologique. Rien de
commun
entre l’Idylle et le destin de l’Europe dans l’histoire à venir. Il n
3
l n’y a au monde aucune partie qui puisse se dire
commune
à toutes les nations si ce n’est l’île de Crète… Les anciens se plure
4
rellement refoulée par celle de l’unité impériale
commune
à l’Orient et à l’Occident, moitiés géographiques et administrativeme
5
.« Europa vel regnum Caroli » Cette conscience
commune
de l’Europe — remplaçant de plus en plus le concept déprécié ou dépré
6
d’une véritable idée européenne, d’une conscience
commune
attestée par d’innombrables expressions exclamatives et par des fêtes
7
Mayence, que toute l’Europe édifia par une œuvre
commune
certes, mais grâce à une division du travail des mieux ordonnées (ord
8
. L’année sacrée des Celtes, qui paraît avoir été
commune
aux traditions sacrées de toute l’Europe, commençait un jour après le
9
eurs en appeler) qu’à l’idée de chrétienté, seule
commune
. L’apparition d’un tiers parti interne, menaçant à la fois les deux a
10
eiller, elle aussi, la conscience de ce qui reste
commun
, malgré tout, aux gibelins et aux guelfes. L’islam a séparé la part d
11
ut est celui-ci : le genre humain, sur les points
communs
qui intéressent tous les hommes, doit être gouverné par un seul monar
12
. Il ne resta qu’un seul signe de la même origine
commune
: presque tous les peuples cités ci-dessus possèdent la réponse affir
13
ure d’arbitrage international ; d’une force armée
commune
; et d’un budget fédéral, alimenté d’ailleurs aux dépens de la dîme e
14
nvoyer immédiatement des ambassadeurs à nos frais
communs
et sans même en être requise par notre collègue attaqué, pour apaiser
15
tice ou Consistoire, Assemblée, enfin force armée
commune
, ainsi que la manière de la financer et de la faire entrer en action
16
lement les forces et les ressources qui nous sont
communes
; et pour accomplir et exécuter cette tâche, nous paierons et donnero
17
accabler l’imprévoyance, nous décidons que, d’un
commun
accord de toute notre Assemblée ou de la majeure partie de celle-ci,
18
il ait ses propres armes, son sceau et sa caisse
commune
, ainsi que ses archives officielles, son syndic, son fiscal, ses offi
19
tre, et nous, doge de Venise, avec les princes et
communes
d’Italie, une troisième ; mais que si le roi de Castille ou d’autres
20
ur » du Nouveau Monde, qui eût pu devenir l’œuvre
commune
des grandes compagnies commerciales, des armateurs et des banquiers d
21
nir, que du moins ils soient unis contre l’ennemi
commun
…85 Malheureusement, c’est le contraire qui arrive. LIX. — Ainsi l’Ang
22
à elle seule à les diviser à ce point et le titre
commun
d’hommes et de chrétiens ne peut pas les unir ! Pourquoi une chose de
23
e. Et nous considérons cette dissemblance de noms
communs
à chaque pays, comme un motif suffisant pour que les nations se heurt
24
railles, mais tout d’abord, qu’ils travaillent en
commun
pour que le Turc ne s’empare de l’Allemagne ; sinon il n’y a plus d’e
25
r leur union ils se fortifient contre leur ennemy
commun
: et mesme un fameux personnage a monstré les moyens d’exterminer les
26
estoit, ainsi qu’elle est véritablement, une cité
commune
à tous ? Vers la fin de l’ouvrage, il reprend et développe ce thème
27
sures : … il est necessaire que les princes d’un
commun
consentement réduisent les monnoyes à un mesme pied, afin que chacun
28
che, et confirmer tout cela par l’alliance de vos
communs
enfants, qui se trouveront d’âge sortable les uns aux autres. Je ne d
29
mission de régler toutes les questions d’intérêt
commun
et d’élaborer tous les projets concernant l’ensemble de la République
30
ces royaumes le plus étroitement possible au sort
commun
de l’Europe, deux dispositions : d’une part leurs souverains devront
31
éens, malgré contrastes et conflits, possèdent de
commun
et d’irremplaçable. Ce qui distingue les écrits de Sully de ceux de s
32
aut pas introduire autre chose que l’enseignement
commun
de nous tous, unis par des liens fraternels, que l’assujettissement d
33
mp; que souvent ils font plus d’impression sur le
commun
des esprits, que les véritables raisons prises du fond même du sujet,
34
es voix y ajouter, ou y retrancher pour l’utilité
commune
ce qu’elle jugera à propos. Répondant à des objections, portant géné
35
ue les chrétiens fussent réunis sous une autorité
commune
, en sorte qu’ils pussent ensemble sauvegarder la paix et qu’en même t
36
aintien de la paix universelle, des contributions
communes
sont exigées pour la guerre contre les incroyants et que l’on y fait
37
rsque nous convenons de payer trois schellings en
commun
par livre sterling, pour jouir plus sûrement des dix-sept autres sche
38
e notre liberté, l’arbitre entre les lords et les
communes
, le chef de la république ; quand nous n’épousons qu’une seule femme
39
irconstances qui laissent subsister des relations
communes
entre des peuples divisés. C’est ainsi que toutes les puissances de l
40
ue, une idéale collection de peuples qui n’ont de
commun
qu’un nom, mais une société réelle qui a sa religion, ses mœurs, ses
41
se traitent en particulier ; où l’on délibère en
commun
si la table sera ronde ou carrée, si la salle aura plus ou moins de p
42
libres ; il n’y a qu’eux qui aient une existence
commune
et qui soient vraiment liés par la loi. Un Français, un Anglais, un E
43
le fédéralisme intégral, le retour à l’esprit des
communes
: Presque tous les petits états, républiques et monarchies indiffér
44
e rien ne puisse rompre entre elles le lien de la
commune
législation, et de la subordination au corps de la république. En un
45
s seuls États qu’il tolère en fin de compte : les
communes
libres. Voici le passage du Contrat (III, 13) auquel il réfère ses le
46
ne bêtise, un non causa pro causa, erreur la plus
commune
de la logique. Tout tient aux races. La première, la plus noble des r
47
arées, à peine liées ensemble par quelque intérêt
commun
, et fort indifférentes sur les affaires et les opérations les unes de
48
s colonies. Les peuples sauvages sont les ennemis
communs
de toutes les sociétés civilisées ; nous allons examiner si l’Europe
49
ntrépides citoyens de la Bretagne, que la défense
commune
pourrait peut-être réunir. En supposant que les barbares victorieux p
50
moyens de bien-être particulier et de prospérité
commune
; soit par des progrès dans les principes de conduite et dans la mora
51
ne formera qu’un seul corps, la nation unique… La
commune
de Paris sera le point de réunion, le fanal central de la communauté
52
le genre humain. Art. II. — Tout individu, toute
commune
qui reconnoîtra ce principe lumineux et immuable, sera reçu de droit
53
ra la propagation de la vérité, pour admettre les
communes
, et les enclaves lointaines. Mais le dantoniste Robert fait repousse
54
éralisme était une des formes politiques les plus
communes
employées par les sauvages, Chateaubriand, Amérique, Gouvernement. Pe
55
. … Les feuillets qui suivent sont dédiés au bien
commun
de toutes les nations civilisées, mais plus particulièrement à celui
56
facilité par l’institution d’une Cour de Justice
commune
pour régler les différends entre nations, encore qu’une telle Cour n’
57
e au sujet du treizième : Établissez un Tribunal
commun
, et la nécessité de faire la guerre ne résultera plus des différences
58
rtenant à un seul État, que leurs intérêts soient
communs
, et que l’Europe puisse être tenue pour la mère universelle de tous s
59
, comme tels, ne sont pas soumis à une contrainte
commune
et extérieure) ; mais il est sans exemple qu’un État ait été amené, p
60
it institué, chargé de régler toutes les affaires
communes
des États confédérés, de mener à terme tous leurs procès et de mettre
61
n de petits États, que relie entre eux un intérêt
commun
, peut certes vivre et se développer, si on l’a dotée d’une constituti
62
merce et la richesse étaient en réalité des biens
communs
, qui, même si on les trouvait en plus grand nombre dans tel ou tel Ét
63
ue abondant et brillant orateur de la Chambre des
communes
, fut à la fois le premier défenseur des droits américains et le premi
64
principes et les formes de l’antique constitution
commune
des États européens, améliorés et adaptés à la situation présente de
65
ttre, avec son frère en la foi français, l’ennemi
commun
. Le sujet français tire l’épée contre une patrie qui le maltraite et
66
l’Empire romain d’Occident, par une même religion
commune
et la même soumission au chef visible de cette dernière. Aux peuples
67
s sera achevée. Elle seule demeure leur propriété
commune
, après qu’ils ont partagé entre eux tout le reste. Nul État fermé ne
68
vraie patrie que cette Europe qui est leur terre
commune
, et d’une extrémité à l’autre du continent, ils ne poursuivent, à peu
69
nt, partout se fût trouvé toujours dans la patrie
commune
. Il eût demandé toutes les rivières navigables pour tous ; la commun
70
stant son action. Les magistrats des plus petites
communes
se complaisent à les embellir. Ils en entretiennent avec soin les mon
71
e problème européen sur le terrain des « intérêts
communs
et des engagements solides ». Plus que tout autre auteur de Plans ant
72
e société confédérative unie par des institutions
communes
, soumise à un gouvernement général qui était aux peuples ce que les g
73
toute réunion d’hommes, il faut des institutions
communes
, il faut une organisation : hors de là, tout se décide par la force.
74
ontés, concerte les mouvemens, rende les intérêts
communs
et les engagemens solides… … L’Europe aurait la meilleure organisatio
75
onaux, il ne peut avoir d’action sans une volonté
commune
à tous ses membres. Or, cette volonté de corps qui, dans un gouvernem
76
lement. Et en effet, tout ce qu’il y a d’intérêts
communs
à la société européenne, peut être rapporté aux sciences, aux arts, à
77
écrire en Europe, devra députer à la chambre des
communes
du grand parlement un négociant, un savant, un administrateur et un m
78
ux, je me suis placé du point de vue de l’intérêt
commun
des peuples européens. Ce point est le seul duquel on puisse apercevo
79
; elle a fondu, pour ainsi dire, dans une opinion
commune
des mœurs opposés ; et, rapprochant des ennemis, elle en a fait des n
80
romano-germanique qui allait devenir la nostalgie
commune
de tous les amis de Novalis, penseurs, artistes et poètes, catholique
81
nent humainement articulé ; un seul grand intérêt
commun
unissait les provinces les plus éloignées de ce vaste empire spiritue
82
vue des politiciens de cabinet, de la conscience
commune
, aucune conciliation n’est possible. Les deux partis ont de grandes e
83
t plus tard à mesure qu’elles s’émancipèrent, les
communes
des villes avec leurs privilèges et leurs droits. Ces divers établiss
84
croire qu’ils adopteront à nouveau une politique
commune
à l’égard de l’Orient. Qu’il en soit conscient ou non, c’est dans ce
85
aspect uniforme faisant croire à une descendance
commune
… Plus on remonte le cours du temps, plus on constate que chaque natio
86
a Congrega de la Jeune Europe choisira un symbole
commun
à tous les membres des trois associations ; ils se reconnaîtront tous
87
ls se reconnaîtront tous à ce symbole. Une devise
commune
placée en tête des écrits contresignera l’œuvre de la société. VIII T
88
atre siècles, à l’époque où la guerre existait de
commune
à commune, de ville à ville, de province à province, si quelqu’un eût
89
es, à l’époque où la guerre existait de commune à
commune
, de ville à ville, de province à province, si quelqu’un eût dit à la
90
ublions pas, dans cette génération splendide, les
communes
, les Ligues, les fédérations, et jusqu’à cette Féodalité, qui, par sa
91
ou plusieurs commîmes, un ou plusieurs groupes de
communes
ou États, s’obligent réciproquement et également les uns envers les a
92
compétence du prince les affaires des provinces,
communes
, corporations et particuliers, en raison directe de la superficie ter
93
opérer entre eux pour l’accomplissement de tâches
communes
, mais ils ne vont pas se soumettre volontairement au pouvoir d’une co
94
31 : Les peuples de l’Europe ont une physionomie
commune
, un air de famille. Malgré la division générale de ces peuples en bra
95
en Méridionaux et Septentrionaux, il y a un lien
commun
qui les unit tous dans un même faisceau, bien visible pour quiconque
96
e reste de l’Europe. Alors, quand la civilisation
commune
de l’Europe coïncidera avec le nôtre propre, naîtra une civilisation
97
’aux yeux d’un Européen d’aujourd’hui, les thèses
communes
aux deux écoles (décadence européenne, messianisme russe à la fois re
98
sera satisfait, car tout converge à cela, par une
commune
disposition, ou mieux, d’un commun accord. Il ne restera donc qu’un s
99
cela, par une commune disposition, ou mieux, d’un
commun
accord. Il ne restera donc qu’un seul colosse sur le continent europé
100
« volonté de vivre ensemble » en vue d’un avenir
commun
. Cette analyse capitale pour toute l’évolution de l’idée européenne d
101
e est une confédération d’États réunis par l’idée
commune
de la civilisation. L’individualité de chaque nation est constituée s
102
ensemble, voilà ce qui vaut mieux que des douanes
communes
et des frontières conformes aux idées stratégiques ; voilà ce que l’o
103
, souvent opposées, les nations servent à l’œuvre
commune
de la civilisation ; toutes apportent une note à ce grand concert de
104
héritage compte, autant par ce que nous avons en
commun
avec elle que par ce qui nous oppose à elle… Et même si nous sommes i
105
t que tout s’oriente vers de plus larges intérêts
communs
, à quoi rime d’exciter ces égoïsmes galeux ? Et cela au moment où l’a
106
esprits étendus et profonds de ce siècle, l’œuvre
commune
de l’âme a consisté à préparer, à supputer et à anticiper cette nouve
107
fédération ne se conçoit que sous le dénominateur
commun
d’une forte pensée de base, d’une conviction. Or, elles font défaut.
108
’une conviction. Or, elles font défaut. Un danger
commun
, comme jadis les Turcs ? Rien ne se trouve plus dans la même situatio
109
des années 48, et n’ont plus rien voulu avoir de
commun
avec le Reich de Bismarck, modelé en si grande partie sur le prototyp
110
ntre idolâtries nationales opposées, l’absence de
communes
mesures et de doctrines invariables les garantissant, nous conduisit,
111
. Voici déjà un Européen presque achevé. Un droit
commun
, un dieu commun ; le même droit et le même dieu ; un seul juge pour l
112
Européen presque achevé. Un droit commun, un dieu
commun
; le même droit et le même dieu ; un seul juge pour le temps, un seul
113
e sont crus les uns et les autres soustraits à la
commune
misère humaine, les premiers en tant que nation choisie par le destin
114
que entre les militants de deux partis qui ont en
commun
le même souci de sauver l’Europe dans le présent, — cette Europe mena
115
désormais pour base une tradition intellectuelle
commune
et, plutôt qu’une foi commune, un commun respect pour la tradition cl
116
tion intellectuelle commune et, plutôt qu’une foi
commune
, un commun respect pour la tradition classique. La grammaire latine r
117
ctuelle commune et, plutôt qu’une foi commune, un
commun
respect pour la tradition classique. La grammaire latine remplaça la
118
e Dieu » de France et d’Espagne, dans l’évolution
commune
d’un phénomène historique, dans l’allégeance à l’Europe. … Au début d
119
ts pour entretenir d’autres gardiens des âmes. Le
commun
peuple d’Europe, jusqu’à l’époque de Jeanne d’Arc et même bien plus t
120
eption de la culture. Naturellement, tout élément
commun
ne fait pas défaut. Cependant, la simple généralité morphologique ne
121
d de la « théorie » qui les porte à rechercher en
commun
des vérités universelles plutôt que des recettes d’action : Ce sont
122
x qui l’a close, a du moins établi une conscience
commune
des peuples qui se sont sentis, et qui se reconnaîtront toujours mieu
123
le monde, pendant ces derniers siècles, est sans
commune
mesure avec tout ce qui a précédé. Pour nous guérir de cette illusion
124
ne » dans la Chine d’aujourd’hui n’a plus rien de
commun
avec ce que nous connaissons de la peinture chinoise. Non seulement l
125
entôt toute notre capacité technique sera le bien
commun
de l’humanité entière. Bientôt nous, Européens, si nous nous vantons
126
ique suppose une prise de « conscience européenne
commune
», disait Christopher Dawson dès 1932 : Au cours du xviiie et du x
127
tiel qu’elle atteigne à une conscience européenne
commune
et qu’elle acquière le sens de son unité historique et organique. On
128
er, pour comprendre l’unité de notre civilisation
commune
, autant de peine que nous en avons pris pour étudier nos individualit
129
opre et originale, sans tenir aucun compte du sol
commun
où a pris racine sa tradition individuelle. Et cette erreur n’est pas
130
es formules heureuses les principes qui leur sont
communs
: L’éternel national nous semble un concept à manier avec prudence…
131
de son histoire ne s’expliquent que par un fonds
commun
.311 Il est frappant de constater que l’unanimité des auteurs qui on
132
L’Europe se constitue parce que ce qu’il y a de
commun
chez tous les Européens prend de plus en plus d’importance par rappor
133
est pas de solution plus juste. Les formes de vie
commune
dans la maison nouvelle seront instaurées par la Constitution. Entrer
134
t cette unité définie par des données culturelles
communes
qui constitue le véritable lien entre nous tous. Aucune organisation
135
culture. Si nous dissipons ou si nous aliénons ce
commun
patrimoine culturel, nulle organisation, nul « planning », fût-il l’œ
136
nullement à ne plus avoir qu’une seule allégeance
commune
; elle signifie bien au contraire une pluralité des allégeances. Il e
137
paraissent les sources auxquelles nous puisons en
commun
, les littératures de Rome, de la Grèce et d’Israël. Ce que j’ai dit d
138
ts : la tradition locale, la tradition européenne
commune
, et l’influence réciproque de l’art d’un pays sur celui d’un autre.
139
avec sang-froid, l’inventaire de leur patrimoine
commun
. La civilisation européenne est le produit d’une collaboration sécula
140
s de ce continent, déclarons solennellement notre
commune
volonté dans les cinq articles suivants, qui résument les résolutions
141
s droits souverains pour les exercer désormais en
commun
. » En fait, le Conseil de l’Europe, au lieu de répondre à ce vœu, se
142
idéaux et les principes qui sont leur patrimoine
commun
et de favoriser leur progrès économique et social. (b) Ce but sera po
143
du Conseil, par l’examen des questions d’intérêt
commun
, par la conclusion d’accords et par l’adoption d’une action commune d
144
nclusion d’accords et par l’adoption d’une action
commune
dans les domaines économique, social, culturel, scientifique, juridiq
145
ion des intérêts essentiels » et « d’institutions
communes
capables d’orienter un destin désormais partagé ». Les six parties co
146
lidarité de fait, et par l’établissement de bases
communes
de développement économique ; Soucieux de concourir par l’expansion
147
acier, fondée sur un marché commun, des objectifs
communs
et des institutions communes. Le préambule du traité instituant la C
148
commun, des objectifs communs et des institutions
communes
. Le préambule du traité instituant la Communauté économique européen
149
le préambule : Décidés à assurer par une action
commune
le progrès économique et social de leur pays en éliminant les barrièr
150
de contribuer, grâce à une politique commerciale
commune
, à la suppression progressive des restrictions aux échanges internati