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dernières entraîne nécessairement la ruine de la
communauté
, par le seul fait qu’il ruine le langage. Cette absence d’un princip
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et la richesse matérielle ? Que vaut alors cette
communauté
de réflexes et d’obsession ? N’est-elle pas une somme de nos défaites
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iel, notre philistin méconnu se voit chassé de la
communauté
des siens. Et par sa faute ! c’est là son amertume. Ici intervient l’
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ersité, toute autonomie spirituelle au sein de la
communauté
. Il y va de notre tout, personnel, mais aussi de la valeur de la comm
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re tout, personnel, mais aussi de la valeur de la
communauté
pour tous les hommes qui la composent. Ne fût-ce que pour cette seule