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ées par les dimensions restreintes du pays et des
communautés
diverses qui s’y côtoient. Pays pauvre, au surplus, et dont les seule
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sens le plus noble, et penseurs engagés dans leur
communauté
, plutôt que créateurs d’art ou de grands systèmes. Médecins praticien
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é, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la
communauté
. Car, dans ce cas, nous serions restés chez nous. Mais nous ne serion
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olitique, totalement absorbé par le service de la
communauté
. Car alors nous serions de l’autre côté du rideau de fer, en esprit t
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que d’une part, et, d’autre part, vis-à-vis de la
communauté
au sein de laquelle sa vocation s’exerce. Aux individualistes nous ra
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tre de fédérateur que le groupe, ou l’État, ou la
communauté
d’États, ou le parti politique, qui agit comme catalyseur de volontés
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ve correspondre à la fois aux besoins réels d’une
communauté
en puissance, et à des solutions qui figurent l’optimum entre les max
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: pour l’avantage et la survivance de chacune des
communautés
constituantes et pour qu’elles puissent exercer ensemble des fonction
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és inventées par la personne et assimilées par la
communauté
. À chaque conquête nouvelle effectuée, correspond une organisation d
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nismes ont pour fonction normale de décharger les
communautés
fédérées de tâches devenues trop lourdes pour elles, mais dont la bon
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yen de l’Europe relève d’un pays d’origine, d’une
communauté
définie où il a (ou prend) ses racines ; et il peut y exercer ses dro
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fondamental à une patrie locale entraîne que les
communautés
constituées, régions associées ou États, sont responsables vis-à-vis
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u droit fondamental des personnes à se grouper en
communautés
diversifiées : droit à l’autonomie ; tandis que la seconde solution p
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ution porterait atteinte au droit fondamental des
communautés
qui est, d’une part, d’être déchargées des tâches d’organisation (ou
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spirituels plus restreints ou plus vastes que la
communauté
politique (État ou région) où il est né ; et enfin le libre jeu dans
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é d’assurer l’union européenne et l’autonomie des
communautés
fédérées implique une dualité correspondante au sein des pouvoirs lég
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ésentant les peuples, le second, les États et les
communautés
dotées d’une autonomie reconnue. Les affaires de la compétence de l’A
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le » pour défendre le col du Gothard au nom de la
communauté
européenne du Saint-Empire, de même la Confédération suisse se voit d
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ée aujourd’hui dans les processus de décision des
Communautés
économiques européennes. La rencontre de cette vieille tradition, rén
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omands. Pour les premiers, fédération veut dire «
communauté
du Serment » (Eidgenossenschaft) ou « lien » (Bund). Pour les seconds
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» (plus étroite que quoi, on ne le dit pas) et de
communauté
, de supranationalité et de super-État, ou encore d’États-Unis d’Europ
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à implicite dans les traités qui ont institué les
Communautés
européennes », mais elle ne suggère pas les voies et moyens qui pourr
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journellement dans les processus de décision des
Communautés
économiques, serait celle des trois solutions qui aurait le moins de
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75, la nationalité suisse devra s’incorporer à la
communauté
de la Grande Europe. De cette façon, elle n’aura pas vécu en vain ni
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ntent, et le reste va s’en suivre : plan Schuman,
Communauté
du charbon et de l’acier, tentative avortée d’une communauté de défen
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du charbon et de l’acier, tentative avortée d’une
communauté
de défense, puis réussite du Marché commun des Six et réplique des Se
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oit d’attendre d’une Suisse qui fait partie de sa
communauté
et qui en est bénéficiaire, et pas seulement ce que nous attendons et
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se que des grands lieux communs mainteneurs d’une
communauté
, font la force principale d’un régime fédéral mais la faiblesse des m
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tre l’homme et la Nature, entre la personne et la
communauté
, entre les communautés nationales, et enfin, entre les cultures diffé
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re, entre la personne et la communauté, entre les
communautés
nationales, et enfin, entre les cultures différentes. La technique pe
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i aurait le défaut supplémentaire de parler d’une
communauté
encore inexistante, et d’institutions fragmentaires, limitées à une p
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n rôle de citoyen. (« Cité » signifiant ici toute
communauté
sociale effective : commune, région, nation, Europe…) Les problèmes v
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décrire, définir, illustrer) : a) Les éléments de
communauté
et les facteurs de différenciation qui font de l’Europe dans l’histoi
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la région, de la nation, de l’Europe unie, ou de
communautés
électives (non natives) universelles par définition ou ambition ; d)
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unes aux réalités et aux problèmes civiques de la
communauté
européenne, et cela, à la faveur d’exemples qui ne peuvent manquer de
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’État européens un plan d’union selon lequel « la
communauté
des intérêts devait paver le chemin menant à la Communauté politique
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é des intérêts devait paver le chemin menant à la
Communauté
politique ». Il marquait ainsi le passage de l’Idée à l’Action europé
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hasard. Car je tiens la région pour une forme de
communauté
aussi nouvelle dans notre civilisation que le fut au vie siècle avan
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encore ni le Conseil de l’Europe, ni surtout, les
Communautés
européennes, la fédération européenne apparaissait plus accessible qu
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pe. Cet espoir, ils l’ont reporté ensuite sur les
Communautés
européennes. Après l’expérience de ces dernières années, pensez-vous
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dernières années, pensez-vous aujourd’hui que les
Communautés
peuvent constituer l’amorce d’une fédération européenne ? Estimez-vou
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ne le pourraient pas. Et il faut redouter que les
Communautés
, bridées par les nations qui les composent, loin d’amorcer un process
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sions des activités en jeu, et les dimensions des
communautés
qui peuvent les prendre en charge. Étant donné la nature, les conditi
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pres d’une certaine activité, quel est le type de
communauté
qui lui correspond le mieux par ses moyens et par ses dimensions ? Vo
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rès les grandeurs, les dimensions, les moyens des
communautés
qui peuvent s’en occuper. Autrement dit, du point de vue fédéraliste,
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on se demandera à partir de quelle dimension une
communauté
a le droit de se plaindre d’un exode de ses fils qui vont exercer leu
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est bien à la taille du canton (l’activité et la
communauté
étant de tailles correspondantes) : si à ce moment-là, une grande pui
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e savants qu’il était important de garder pour la
communauté
continentale, vu les finalités (qui n’étaient pas toutes de recherche
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r après tout, elle fait partie, elle aussi, de la
communauté
internationale. Je crois vous avoir donné ainsi le moyen méthodique d
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ld, qui permet de fixer les différents niveaux de
communautés
qui doivent prendre en charge telle ou telle activité. M. Nordmann :
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que l’on appelle exode par rapport à une certaine
communauté
et dans une certaine conjoncture. Il y a un premier choix à faire : j
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ité ; donc trop grands pour être encore de vraies
communautés
humaines, et cela, c’est la plus grave maladie qui puisse miner un co
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hasard. Car je tiens la région pour une forme de
communauté
aussi nouvelle dans notre civilisation que le fut au vie siècle avan
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des cités nouvelles où puisse naître un esprit de
communauté
, et non pas dans des casernes accrochées à de vieux villages que cela
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la fois ce qui distingue l’homme et le relie à la
communauté
où il exerce. Ce qui l’amena — avant Sartre, ce qu’on ignore générale
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Ainsi se trouve fondée une certaine notion de la
communauté
qui postule l’engagement de l’individu. Mais cet engagement, tient-il
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ant des hippies qui essaient aussi de recréer une
communauté
véritable, tout redevient possible. Mais jusqu’où cela ira-t-il ? M d
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éclatante de ce besoin qui existe d’une nouvelle
communauté
, d’un principe de communauté qui soit l’amour : un amour pas seulemen
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xiste d’une nouvelle communauté, d’un principe de
communauté
qui soit l’amour : un amour pas seulement sexuel, mais également spir
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seulement sexuel, mais également spirituel. Cette
communauté
nouvelle dont tout le monde aspire, mais que personne n’ose construir
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ies au niveau de la commune, par la recréation de
communauté
de 5 à 20 mille habitants qu’on appelle, en urbanisme moderne, des un
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illeurs (4 octobre 1969)ad Comment faire une
communauté
humaine ? Serait-ce vous insulter ou simplifier par trop que de di
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de choses aussi pauvres que cela, pour créer une
communauté
. Qui, au fond, ont eu comme résultat que la communauté est en train d
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nauté. Qui, au fond, ont eu comme résultat que la
communauté
est en train de se défaire, n’est-ce pas : la grande crise du xxe si
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u xxe siècle, c’est la dissolution du sens de la
communauté
humaine. Alors, c’est dans ce sens que, je pense, il nous faut retrou
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pense, il nous faut retrouver les formules d’une
communauté
nouvelle — il nous faut tout refaire ! Nos villes deviennent inhabita
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fois dans l’évolution humaine : Comment faire une
communauté
? Est-ce dans ce sens-là que vous êtes passé — ou peut-on dire que v
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’était essentiellement manifester au niveau de la
communauté
ce qu’on croyait le plus intimement, c’est-à-dire l’être même de la p
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ligieuse, autour desquels se forment de nouvelles
communautés
. Et grâce à ça, on maintient l’humanité, n’est-ce pas ? L’humanité ne
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ement vers l’ouest. Berne est la seule cité de la
communauté
suisse qui ait été carrément impérialiste, étendant ses pouvoirs par
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e est parlée, écrite et chantée librement par une
communauté
d’hommes libres. Rien n’est authentiquement européen qui ne soit d’ab
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grandes unions supranationales et de plus petites
communautés
infranationales, solidarités et autonomies : ces deux mouvements cont
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et de participation civique, apanage des petites
communautés
ou cités libres, comme Rousseau l’avait si bien vu ; ni aux condition
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cette vocation même dont l’exercice le relie à la
communauté
, cet homme se constitue dans la dialectique des contraires. Et ce car
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e concret et d’horizons ouverts, d’adhésion à des
communautés
plus vastes et de cadres qui rassurent, d’enracinement et de mobilité
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’Être même de l’Universel, source et fin de toute
communauté
. Dans tous ces domaines d’existence, quels seront les principes de mé
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comme la liberté des personnes et la force de la
communauté
? L’analyse fédéraliste d’une situation part du concret, en ce sens q
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solution consisterait à recréer les conditions de
communauté
, et tout d’abord certaines dimensions et structures architecturales :
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s à proportion de tâches nouvelles, mais aussi de
communautés
plus petites correspondant aux exigences de l’habitat, de la formatio