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ous nous sentons incapables pour admettre dans la
communauté
de la foi chrétienne l’homme qui a pu dire qu’il s’inclinait devant l
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thes. On a cru trouver en eux les principes d’une
communauté
nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y a jamais eu auta
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avait d’émouvant dans leur élan vers une nouvelle
communauté
humaine. Mais ils se sont cruellement trompés de porte en s’adressant
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ctivités mensongères de ce temps à l’utopie d’une
communauté
chrétienne, par l’artifice indispensable, mais peut-être aussi tout f
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ssi endurant que le malheur. Et rien ne fonde une
communauté
comme le malheur. La communauté des gens qui vivent dans l’aisance, c
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rien ne fonde une communauté comme le malheur. La
communauté
des gens qui vivent dans l’aisance, celle-là ne vaut pas un clou. Mai
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l’aisance, celle-là ne vaut pas un clou. Mais la
communauté
des gens cimentés par le malheur, ça c’est la seule vraie communauté
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cimentés par le malheur, ça c’est la seule vraie
communauté
qui puisse exister pour un peuple ». ⁂ J’ai tenu à citer ces passages
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n de n’importe quelle nation, de n’importe quelle
communauté
. Le « fait nation », dans les dernières phrases de Pillau, n’apparaît
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oupes qui fondent les premières thiases grecques,
communautés
comparables à la cité moderne, et basées non plus sur le sacré, le sa
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if. Mais ce mouvement centrifuge par rapport à la
communauté
d’origine, s’il se confond d’abord avec l’intelligence et la raison,
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sorte d’angoisse diffuse d’où naît l’appel à une
communauté
nouvelle et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes
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liberté. La Grèce individualiste a triomphé de la
communauté
barbare du sang. Mais plus tard elle a sombré dans l’anarchie. Rome a
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ctive sociologique où nous nous plaçons ici ? Une
communauté
spirituelle formée de communautés locales ou « cellules ». Celles-ci
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laçons ici ? Une communauté spirituelle formée de
communautés
locales ou « cellules ». Celles-ci ne se fondent pas sur le passé ou
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recourir directement à l’Éternel, au-dessus de la
communauté
. Et la communauté est liée par sa fidélité à l’Éternel. Ainsi les dro
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nt à l’Éternel, au-dessus de la communauté. Et la
communauté
est liée par sa fidélité à l’Éternel. Ainsi les droits et les devoirs
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ble vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit la
communauté
est aussi ce qui l’oblige à respecter les vocations individuelles. La
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lle de l’individu et l’engagement concret dans la
communauté
y devient donc possible. Dans la petite congrégation, on se connaît,
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uple de frères amis que forment la personne et la
communauté
fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcuménisme, ce serai
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ndent un régime qui puisse allier la liberté à la
communauté
. Dans le fédéralisme, démocrates et totalitaires de droite et de gauc
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tre temps. Il nous rend les vraies formules de la
communauté
vivante, celle qui rassemble les personnes, et non pas celle qui fond
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e sans le soutien d’une catholicité réelle, d’une
communauté
humaine fondée dans la communion des saints. Cette communauté ne se r
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umaine fondée dans la communion des saints. Cette
communauté
ne se révélera pas dans des congrès, mais se manifestera dans une act
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ées au long de ces pages, et qui vont des petites
communautés
à la fédération du continent, première base d’un ordre mondial. Déjà,
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ieur. La formule des circuits fermés favorise les
communautés
locales, tandis que les relais par satellites permettent une communic
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leurs raisons d’être, bientôt remplacés par une «
communauté
plus effective », l’Europe des régions. — L’avenir serait donc à l’
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notre vocation dans la cité. Hors de là point de
communauté
, ni donc de régions, ni d’Europe, ni de paix, ni de futur, à vues hum
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s des centrales nucléaires et les bienfaits de la
communauté
, donc des régions, sans adopter l’attitude religieuse que suggère mal
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des régions et recréer ainsi des possibilités de
communauté
où la personne ait liberté de découvrir et d’exercer sa vocation ; du
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ts, ordonnons nos moyens à ces buts — recréons la
communauté
! Ce ne sera pas encore la fin de la peine des hommes, la vie sans po