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n’a pas su donner le sens civique, le sens de la
communauté
. Qui est-ce qui se préoccupe en France de donner au peuple une éducat
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ve des possibilités de s’accomplir dans une libre
communauté
. Si l’Europe est réduite à l’impuissance politique, si elle est colon
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Il y a dans une patrie, dans une nation, dans une
communauté
humaine bien plus de choses que nos instruments d’analyse des conscie
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u sens le plus noble et penseurs engagés dans une
communauté
(qui souvent dépassait leur pays) plutôt que créateurs d’art ou de pe
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entre Dieu et l’individu, entre l’individu et la
communauté
, entre les hommes, entre les peuples et nations, entre des entités mo
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liberté et de participation civique, apanage des
communautés
ou cités libres, comme Rousseau l’avait si bien vu ; ni aux condition
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cette vocation même dont l’exercice le relie à la
communauté
, cet homme se constitue dans la dialectique des contraires. Et ce car
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e concret et d’horizons ouverts, d’adhésion à des
communautés
plus vastes, de cadres qui rassurent, d’enracinement et de mobilité…
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’Être même de l’Universel, source et fin de toute
communauté
. Dans tous ces domaines d’existence, quels seront les principes de mé
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comme la liberté des personnes et la force de la
communauté
? L’analyse fédéraliste d’une situation part du concret, en ce sens q
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solution consisterait à recréer les conditions de
communauté
, et tout d’abord certaines dimensions et structures architecturales :
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s à proportion de tâches nouvelles, mais aussi de
communautés
plus petites correspondant aux exigences de l’habitat, de la formatio