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n’a pas su donner le sens civique, le sens de la
communauté
. Qui est-ce qui se préoccupe en France de donner au peuple une éducat
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de vise à l’affirmation d’un ordre externe, d’une
communauté
vivante. Les témoignages que nous devons porter en faveur de cet ordr
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et des indiscrets, tantôt moralement exclus de la
communauté
locale, nous assistons non sans une gêne croissante, au développement
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de ma mauvaise humeur, c’est qu’il n’y a plus de
communauté
. Car s’il est vrai que tous les hommes sont frères de par leur commun
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malheur seul peut encore rassembler les hommes en
communautés
pacifiques ? Vendredi saint (avril 1935) Pour vivre de peu. —
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féodaux d’industrie du pays. 18 mai 1935 «
Communautés
». — On en parle beaucoup en France, depuis quelques années ; mais ce
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nt leurs dégoûts d’anarchistes ? Si l’on veut une
communauté
, il faut d’abord un but commun, et positif, un principe créateur et p
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la discipline des travaux forcés. Il faut que la
communauté
soit pour chacun la possibilité de vivre mieux sa vie. Mais cela pose