1 is son discours assemble un peuple et suscite une communauté . Celle-ci réclame un cadre et des institutions. Or, au plan politique

2 nt, reliant l’individu comme vocation divine à la communauté comme amour du prochain. Cet homme, mieux libéré que l’individu grec,

3 e le met au service du prochain. Entrant dans une communauté chrétienne, l’esclave y trouve la dignité morale qui était celle de l

4 ans la perspective chrétienne est le suivant : la communauté des personnes, libérées et reliées en vertu de la foi. Cet idéal s’e

5 t puissant de l’aventure occidentale. Les deux communautés On me dira que l’aventure est sur le point de mal finir, car les r

6 lérosés ? Les données générales du problème de la communauté des hommes en Occident peuvent être résumées en termes analogues, qu’

7 e ne demander plus rien d’autre qu’un principe de communauté , c’est-à-dire un moyen quelconque de donner un sens à sa vie engagée

8 r ses enfants… Mais l’Église au contraire est une communauté de vocations personnelles, et donc imprescriptibles. Elle appelle à l

9 erte et progressive. Le Parti lui aussi offre une Communauté , mais fermée et par suite régressive. Cette double possibilité commun

10 s comme une erreur pathétique. Ils rêvaient d’une communauté , sans oser la vouloir vraiment, faisant leurs dieux de ceux qui en di

11 dans les bureaux de l’État l’élan premier vers la communauté , les révolutions de l’Europe ont fomenté le nationalisme, cette trois

12 idéal, une idéologie, le principe d’une nouvelle communauté non de naissance, mais d’avenir et de volonté. Toutefois, cette idéol

13 t le Scandale. Il en reste cette soif d’une vraie communauté qui déclenche les révolutions et qui entretient le culte de l’idole n

14 , il n’est rien sorti de durable de leurs petites communautés de retraite. Cependant, l’attitude de révolte impuissante contre le t