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i laisse assez de place pour moi. L’ennui avec le
communisme
, c’est qu’il accepte trop du mobilier d’aujourd’hui. Je hais les meub
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te contre vos libertés que représente l’action du
communisme
international, dirigée par le Kremlin ? Vous êtes visés comme les aut
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serait actuellement sans effet. Ils laissent aux
communistes
le soin de verser des larmes de crocodile sur cet abandon prétendu. I
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é. On sait que Sartre vient de joindre le camp du
communisme
, où naguère encore on le traitait de rat visqueux, ou d’une manière p
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nce à son emprise. Annexer l’Indochine à l’empire
communiste
serait un moyen de rétablir la « paix » dans le Sud-Est de l’Asie, pu
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e elle les forces par ailleurs contradictoires du
communisme
, du nationalisme traditionnel, et de certains intérêts privés, calcul
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ins intérêts privés, calculant à court terme. Les
communistes
veulent une Europe soviétisée. L’Europe unie serait forte et leur rés
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’ils offrent aux manœuvres les plus grossières du
communisme
, jouant sur leur affectivité inquiète comme Iago sur la jalousie d’Ot
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e lutter contre le fascisme sans adopter la ligne
communiste
, ou de lutter contre le stalinisme sans adopter les procédés fasciste
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n parlement (devenue majorité grâce à l’appui des
communistes
) n’a pas encore senti la nécessité historique de cette construction —
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’ils offrent aux manœuvres les plus grossières du
communisme
, jouant sur leur affectivité inquiète comme Iago sur la jalousie d’Ot
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Serrer la main d’un
communiste
, désormais… (10 novembre 1956)ao Le dimanche 4 novembre, à 7 h 57,
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chose. Le monstrueux forfait de Budapest a mis le
communisme
au ban de l’humanité. Il fallait tout d’abord le déclarer. Mais il fa
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t, nous pensons ce qui suit : Serrer la main d’un
communiste
occidental, qui approuve « librement » son parti, c’est saluer un com
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ao. Rougemont Denis de, « Serrer la main d’un
communiste
, désormais… », Le Figaro littéraire, Paris, 10 novembre 1956.