1 de la démocratie et de son prestige). Montée du communisme et de l’Union soviétique. Grande crise économique. Poussée des idéo

2 se voient tous réunis, aux côtés pour une fois de communistes comme Henri Lefebvre et Paul Nizan, et d’un représentant de la Jeune

3 rrassiens de Suisse romande, qui me traitaient de communiste , et à des manifestations de rue en faveur de Sacco et Vanzetti.) Mon

4 diaev, qui fut marxiste, Mounier cède aux clichés communistes sur l’ON, dans le même temps qu’il écrit à l’archevêque de Paris qu’

5 trois autres grandes revues qui sont de direction communiste  », à savoir commune, Europe, et la NRF …5 Voilà qui eût amusé Paulha

6 musé Paulhan. (Mais après tout, si la NRF est «  communiste  », pourquoi l’ON ne serait-il pas « fasciste » ?) Quelle qu’ait été l

7 orsque Staline s’est débarrassé de tous les vieux communistes qui avaient participé à la fondation de l’URSS. On enfermait ces gens

8 ’échangent contre un régime totalement différent, communiste ou fasciste, dictatorial, présidentiel ou monarchique. La vraie chanc

9 ndes traditions jacobines — les gaullistes et les communistes — qui se retrouvent pour brandir des slogans, incapables qu’ils sont

10 des urgences. Mais attention : notre critique du communisme ne reposait pas sur la peur bourgeoise du rouge ou du partageux. C’ét

11 ce de caractère mythique, celle de l’État-nation. Communistes et capitalistes ont les mêmes finalités et poursuivent les mêmes buts

12 la droite, qu’est-ce qui la différencie du Parti communiste français ? Il y a un véritable chassé-croisé des valeurs entre la dro

13 nergie ? Là encore, soit dit en passant, le parti communiste a opéré un virage à 180 degrés. Mais sur le fond, quelle que soit la

14 le lui reprocheront sans relâche nationalistes et communistes , toujours d’accord contre l’Europe. En vérité, Robert Schuman n’est d

15 , le catholicisme tridentin (comme aujourd’hui le communisme « orthodoxe ») attend des fidèles qu’ils optent en dernier ressort no