1 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
1 conomiques ne sont pas venus au secours des chefs communistes allemands. Et ce n’est pas la Fatalité qui prépare les guerres, mais
2 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
2  ? Est-il rouge, est-il blanc ? Il est contre les communistes et les fascistes, mais aussi contre « l’ordre établi » ; il dit pis q
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
3 du nivellement universel, à quoi doit aboutir le communisme . On raille le caporalisme des jeunes miliciens en chemise brune. On n
4 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
4 ion logique des doctrines libérales. Laissons aux communistes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous définissons la personne c
5 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
5 l’an 1932, un mot d’ordre assez nouveau parmi les communistes . On s’est mis à citer les textes du jeune Marx21. On s’est fondé sur
6 utionnaire. 19. Du moins avec les citadins. Les communistes du Midi ne savent guère ce qu’est le marxisme. 20. Max Weber, contre
6 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
7 st ailleurs, si tout se joue ici. C’est ce que le communisme ne peut pas accepter. Entre le communiste et le chrétien, il y a cet
8 que le communisme ne peut pas accepter. Entre le communiste et le chrétien, il y a cet humour dernier, irréductible, et qui joue
9 irréductible, et qui joue toujours aux dépens du communiste . Le communiste prend au tragique « jusqu’à la gauche » son sort terre
10 et qui joue toujours aux dépens du communiste. Le communiste prend au tragique « jusqu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que
7 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
11 conséquences de leur refus du transcendant42. Le communisme seul a poussé jusqu’aux réalisations effectives que semble devoir com
12 evoir commander une foi véritable en l’humain. Le communisme est le véritable humanisme de notre temps. La seule tentative pleinem
8 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
13 je le repousse, que je suis amené à me méfier du communisme . Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. Mais je voudrai
14 toutes.) On a coutume d’opposer christianisme et communisme sur le plan des réalisations humaines. Je ne vois pas l’avantage qui
15 se — c’est une catastrophe. Tandis que l’issue du communisme , nul ne l’ignore, c’est l’établissement sur la terre d’un état de bon
16 is, pour mon compte, rendre pleinement justice au communisme . Je puis discuter sa théorie économique ; sa conception de l’histoire
17 critique, qui me paraît désormais acquis. Mais le communisme est bien plus que toutes ces choses réunies. Il est avant tout une co
18 t volontaire. Certes, il m’est arrivé de « sentir communiste  ». Cela nous arrive à tous, et plus souvent que nous ne le pensons. M
19 soi et assumer en toute conscience la conception communiste , il y a un abîme. Seul, un acte d’adhésion, une sorte d’acte de foi,
20 is être celles du chrétien en présence des thèses communistes . Il y a des adversaires que l’on ne peut honorer dignement qu’en se m
21 me les expressions chrétiennes et les expressions communistes , tant sur le plan éthique que sur le plan métaphysique.   1° Le chri
22 uelles on ne croyait d’ailleurs pas. Le mérite du communiste est de réduire crûment l’idéal qu’il propose à ce but le plus prochai
23 il est très difficile de savoir si oui ou non le communisme veut la destruction des personnes. En tout cas il sera toujours possi
24 , en se référant aux phrases finales du Manifeste communiste , à certaines lettres de Engels, etc. Les philosophes de Moscou sont l
25 ’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils parleront toujours de choses ra
9 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
26 irement posé et résolu par le marxisme. Contre le communisme , une polémique doctrinale est justifiée, voire nécessaire : elle a de
27 e ses puissances. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, sur une notion totale de l’homme naturel. Par
10 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
28 hercherez des équipes de sauvetage. Ici paraît le communisme , comme une constatation de la faillite, une liquidation à un taux sou
29 re un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un communisme plus ou moins fordisé. Les marxistes détiennent l’avantage certain de
30 vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolution personnaliste, l’opposition doctrinale peut se défin
31 sa tradition vivante en ce pays ? La violence des communistes français reste le plus souvent verbale, électorale ; elle n’est pas d
32 érétiques ». (Cf. Que faire ?) 59. Le succès du communisme serait-il « de nous rendre la vie de caserne acceptable » ? (R. de Pu
11 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
33 lus puissants qui travaillent pour la guerre. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime est organiquement l
34 parlementaire. C’est pourquoi nous considérons le communisme comme l’agent le plus perfectionné de la désagrégation atomique de no
12 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
35 se possédante, qui sont franchement matériels. Le communiste affirme : économique d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une
36 is la plus minime folie. Beaucoup « adhèrent » au communisme , aucun ne renonce à son argent. Beaucoup proclament la faillite de la
37 devient personnel. Si j’en crois au contraire les communistes orthodoxes, le mode de vie purement socialiste n’est pas encore imagi
13 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
38 1. Il faut déduire les moyens de la fin. (Les communistes russes sont prisonniers d’une maxime inverse.) 2. Ne rien utiliser qu
14 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
39 rendre au tragique l’opposition toute relative du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils partent donc de la nécessité. Ils n’arrivero
15 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
40 qui travaillent pour le fascisme », s’écrient les communistes à propos de L’Ordre nouveau , cependant que la Critica fascista décl
41 achies dialectiques qui font le charme des revues communistes . Rien dans ces textes pour flatter les littérateurs. Rien non plus po
42 t trois revendications capitales : personnalisme, communisme antiproductiviste, régionalisme, traduisant cette formule de base : S
43 e, on a trop souvent confondu, et jusque chez les communistes , matérialisme et matérialisme dialectique.) L’influence des idées « o
16 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
44 nt : « Mais enfin, vous sentez-vous plus près des communistes que de l’Écho de Paris ? », manifestent simplement par cette question