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? Est-il rouge, est-il blanc ? Il est contre les
communistes
et les fascistes, mais aussi contre « l’ordre établi » ; il dit pis q
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du nivellement universel, à quoi doit aboutir le
communisme
. On raille le caporalisme des jeunes miliciens en chemise brune. On n
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ion logique des doctrines libérales. Laissons aux
communistes
le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous définissons la personne c
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l’an 1932, un mot d’ordre assez nouveau parmi les
communistes
. On s’est mis à citer les textes du jeune Marx16. On s’est fondé sur
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utionnaire. 14. Du moins avec les citadins. Les
communistes
du Midi ne savent guère ce qu’est le marxisme. 15. Max Weber, contre
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st ailleurs, si tout se joue ici. C’est ce que le
communisme
ne peut pas accepter. Entre le communiste et le chrétien, il y a cet
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que le communisme ne peut pas accepter. Entre le
communiste
et le chrétien, il y a cet humour dernier, irréductible, et qui joue
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irréductible, et qui joue toujours aux dépens du
communiste
. Le communiste prend au tragique « jusqu’à la gauche » son sort terre
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et qui joue toujours aux dépens du communiste. Le
communiste
prend au tragique « jusqu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que
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conséquences de leur refus du transcendant.35 Le
communisme
seul a poussé jusqu’aux réalisations effectives que semble devoir com
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evoir commander une foi véritable en l’humain. Le
communisme
est le véritable humanisme de notre temps. La seule tentative pleinem
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je le repousse, que je suis amené à me méfier du
communisme
. Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. Mais je voudrai
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toutes.) On a coutume d’opposer christianisme et
communisme
sur le plan des réalisations humaines. Je ne vois pas l’avantage qui
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se — c’est une catastrophe. Tandis que l’issue du
communisme
, nul ne l’ignore, c’est l’établissement sur la terre d’un état de bon
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is, pour mon compte, rendre pleinement justice au
communisme
. Je puis discuter sa théorie économique ; sa conception de l’histoire
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critique, qui me paraît désormais acquis. Mais le
communisme
est bien plus que toutes ces choses réunies. Il est avant tout une co
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t volontaire. Certes, il m’est arrivé de « sentir
communiste
». Cela nous arrive à tous, et plus souvent que nous ne le pensons. M
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soi et assumer en toute conscience la conception
communiste
, il y a un abîme. Seul, un acte d’adhésion, une sorte d’acte de foi,
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is être celles du chrétien en présence des thèses
communistes
. Il y a des adversaires que l’on ne peut honorer dignement qu’en se m
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me les expressions chrétiennes et les expressions
communistes
, tant sur le plan éthique que sur le plan métaphysique. 1° Le christi
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uelles on ne croyait d’ailleurs pas. Le mérite du
communisme
est de réduire crûment l’idéal qu’il propose à ce but le plus prochai
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il est très difficile de savoir si oui ou non le
communisme
veut la destruction des personnes. En tout cas, il sera toujours poss
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, en se référant aux phrases finales du Manifeste
communiste
, à certaines lettres de Engels, etc. Les philosophes de Moscou sont l
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’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un
communiste
sincère et un chrétien obéissant. Ils parleront toujours de choses ra
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irement posé et résolu par le marxisme. Contre le
communisme
, une polémique doctrinale est justifiée, voire nécessaire : elle a de
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e ses puissances. Les prétentions totalitaires du
communisme
sont fondées, en effet, sur une notion « ouverte » de l’homme naturel
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naissant, celles de la jeune droite, et celles du
communisme
. Je l’introduisais en ces termes : Est-il possible de définir une c
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hercherez des équipes de sauvetage. Ici paraît le
communisme
, comme une constatation de la faillite, une liquidation à un taux sou
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re un capitalisme plus ou moins fascistisé, et un
communisme
plus ou moins fordisé. Les marxistes détiennent l’avantage certain de
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érité qui domine et condamne tout cela. Entre le
communisme
et la révolution personnaliste, l’opposition doctrinale peut se défin
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sa tradition vivante en ce pays ? La violence des
communistes
français reste le plus souvent verbale, électorale ; elle n’est pas d
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érétiques ». (Cf. Que faire ?) 52. Le succès du
communisme
serait-il « de nous rendre la vie de caserne acceptable » ? (R. de Pu
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lus puissants qui travaillent pour la guerre. Les
communistes
ont parfaitement raison de soutenir que le régime est organiquement l
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parlementaire. C’est pourquoi nous considérons le
communisme
comme l’agent le plus perfectionné de la désagrégation atomique de no
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se possédante, qui sont franchement matériels. Le
communiste
affirme : économique d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une
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is la plus minime folie. Beaucoup « adhèrent » au
communisme
, aucun ne renonce à quelque argent. Beaucoup proclament la faillite d
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devient personnel. Si j’en crois au contraire les
communistes
orthodoxes, le mode de vie purement socialiste n’est pas encore imagi
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rendre au tragique l’opposition toute relative du
communisme
et du capitalisme. Ils partent donc de la nécessité. Ils n’arriveront
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qui travaillent pour le fascisme », s’écrient les
communistes
à propos de l’Ordre nouveau, cependant que la Critica fascista déclar
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t trois revendications capitales : personnalisme,
communisme
antiproductiviste, régionalisme, traduisant cette formule de base : S
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e, on a trop souvent confondu, et jusque chez les
communistes
, matérialisme et matérialisme dialectique.) « Primauté du spirituel »
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octrine » radicale, idée socialiste, mots d’ordre
communistes
… En marge de l’action directe, abandonnée aux comités électoraux et a
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la presse. (Si les journaux des pays fascistes ou
communiste
se livrent parfois, eux aussi, à des débauches de mensonges haineux d
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qui me paraît un peu subtile. Et pour réfuter le
communisme
— ce qui serait plus intéressant tout de même — les droites se bornen
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sur les « immenses espérances » éveillées par le
communisme
. On prêche, on s’attendrit, on excommunie, on crie au blasphème, on d
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oit pour autant « révolutionnaire » ou simplement
communiste
. Je dis que cette « politique » sentimentale, cet ersatz de religion,
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ce qui est l’inverse de l’effort fasciste — ni de
communistes
des hommes qui veulent la liberté de l’esprit. Les grandes politiques
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adopte est, comme dans le cas des fascismes et du
communisme
, une religion de l’ici-bas sans transcendance, une religion dont les
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ays. Les États balkaniques orthodoxes ne sont pas
communistes
; les États scandinaves luthériens ne sont pas nationaux-socialistes