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me de la pensée fédéraliste ne saurait être mieux
comparé
qu’à un rythme, à une respiration, à l’alternance perpétuelle de la d
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ne sexuel sont négligeables parmi nous, si on les
compare
à celles qu’entraîne la simple tentative de traverser une frontière s
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urtout parce qu’elle n’avait pas l’occasion de se
comparer
, de s’opposer et de se définir ; elle était seule et reine de la plan
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adie européenne, l’anti-Europe par excellence. Je
compare
le nationalisme à une espèce de court-circuit dans la tension normale
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ts. Un dernier trait : l’Europe, surtout si on la
compare
aux deux empires séparés d’elle, et que je nomme les deux empires san
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Une première différence saute aux yeux, quand on
compare
le rôle de l’URSS et celui des États-Unis dans notre monde : c’est qu