1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 lles des druides sur l’immortalité. La mythologie comparée est la plus périlleuse des sciences, si l’on excepte l’étymologie don
2 hétorique courtoise devient sensible dès que l’on compare ces lieux communs à ceux de la poésie cléricale de l’époque. Un spéci
3 otte d’Amour », la Minnegrotte, qui lui permet de comparer l’architecture d’une église chrétienne et celle du temple de l’amour 
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
4 itulé Mystique occidentale-orientale111. L’auteur compare , puis oppose le fondateur de la mystique allemande au xive siècle, M
5 ieuse, lequel finit par tout détruire. On a voulu comparer cette tendance morbide à l’alcoolisme. Tant que les fourmis ne parler
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
6 on de la passion. Réaction que l’on n’oserait pas comparer à la chevalerie, bien qu’elle remplît la même fonction sociale (mais
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
7 nces de durer : buts et rythmes de vie, vocations comparées , caractères et tempéraments. Si l’on veut le mariage, c’est-à-dire la