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Multitude des problèmes Les choses humaines ne
comportent
pas cette alternative absolue. Ni totalement souveraines, ni totaleme
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le du communisme et sur la fatalité morne qu’elle
comporte
: la réduction de l’homme à des mesures chiffrées. Mais la raison n
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ique. Tant qu’elle reste au service d’une fin qui
comporte
une unité vive, la raison remplit son office qui est l’office mineur
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« russe » et plus léniniste que marxiste, et qui
comporte
même une négation précise de la croyance originelle en l’évolution «
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urs dans le présent. Ensuite parce que tout idéal
comporte
une part d’indétermination, d’incertitude, qui le rend impropre à uni
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lturelle. Mais cependant nous avons vu qu’elle ne
comporte
pas de réponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse ; e
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âche sera plus simple encore : réciter l’homme ne
comportera
plus aucun jugement de valeur. Ainsi le veut la saine méthode, et tou
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herait dans le marxisme plus d’actualité que n’en
comporte
l’abdication de la pensée devant les faits, abdication dont il est né
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ra seul de le décrire. Un acte n’est rien s’il ne
comporte
des effets. La somme de ses effets ne le définit pas, mais le suppose
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e l’humanité consiste à croire que cette équation
comporte
une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore e
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, de pensée véritable, de finalité réfléchie, que
comporte
chacune de ces classes. Puis enfin vérifier si la classe d’actes qui
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ses. Puis enfin vérifier si la classe d’actes qui
comporte
le maximum d’interventions de la pensée n’est pas précisément celle q