1 oûté du grand public, de l’humour américain, l’on comprendra sans peine la popularité mondiale des « idées » d’Henry Ford et des l

2 « En être » ou ne pas en être Une fois qu’on a compris à quel point le fordisme et l’Esprit sont incompatibles, le monde mod

3 ourd à cette harmonie universelle, incapable d’en comprendre les correspondances divines et humaines, insensible même à sa déchéan

4 ibre et généreux, le sentiment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la liberté et une certaine durée normale et capricieuse

5 ue des rapports abstraits entre les choses. Il ne comprend presque plus rien à l’Univers. Par la technique, l’Occidental a préte

6 rt pour se dépasser — indéfiniment. L’homme ne se comprend lui-même qu’en tant qu’il « passe l’homme » et participe, en esprit,

7 monde-termitière type Lénine ou Ford. Soucieux de comprendre notre temps avant de le condamner ou de l’absoudre, défenseur convain

8 désireux de justifier une thèse plus que de faire comprendre la réalité. Et c’est au cours des quarante pages qu’il consacre à la

9 (C’est Blanche qui parle au père Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous demande seulement de prier pour moi, car j’ai

10 monotonie. Au reste, à mesure qu’on avance, l’on comprend mieux les raisons de la popularité d’une telle œuvre : c’est toute la

11 , sa bien-aimée. Suicide et Osaka la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi ces deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes

12 r qu’on l’engage. Mais qu’est-ce à dire lorsqu’on comprend que, non satisfait de s’y complaire, il croit y découvrir son origina

13 avages ne prendront fin qu’au jour où nous aurons compris que la santé est dans l’humilité de la prière, dans la reconnaissance

14 u’ils adoptèrent vis-à-vis du moralisme. Qu’on me comprenne  : ce n’est pas à eux que j’en ai, mais à ce dont ils ont souffert. 3

15 cherche à se rassurer, et d’abord en essayant de comprendre la menace. Il veut des documents, des explications, des directives. N

16 ualisme. Car, — et j’espère que le lecteur m’aura compris — ce n’est plus de jeux de l’esprit, d’acrobaties de psychologues, de

17 s esprits qui prélude à toute guerre moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiques seraient sans forc

18 té que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre  : le prochain, c’est celui qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet

19 ellement détachée du concret de nos vies que l’on comprend sans peine l’indifférence où le public la tient. Un philosophe « séri

20 immense succès ; mais à mesure qu’il se fit mieux comprendre , le public s’écarta, effrayé. Lorsqu’en 1854 il se mit à attaquer de

21 t-être, par une compensation mystérieuse, d’avoir compris mieux qu’aucun autre le message du « solitaire devant Dieu ». L’ir

22 e philosophe dit à bon droit que la vie doit être comprise en arrière, mais il oublie l’autre proposition : qu’elle doit être vé

23 as toujours renoncé à faire de la littérature. On comprend bien que je n’oppose pas ici le nationaliste au communiste. Je ne par

24 amentale de l’Occident, c’est s’interdire de rien comprendre à la grande discussion millénaire, à la grande tension spirituelle da

25 r le théologien. Et tout est clair lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du tout notre faculté de vouloir, mais nie seul

26 si les Églises peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elles le doivent. Mais les deux termes ne se confondent-ils pas da

27 toujours de « pollution », notez cela !   — Si je comprends bien, vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les partis, ni la