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crée des possibles nouveaux. La révolution ainsi
comprise
est aussi indispensable à la vie sociale que l’imagination l’est à la
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tre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai cru
comprendre
qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean du Gard, expliquait à sa vo
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ine, ni absurde malgré les apparences, mais que «
comprendre
» les paroles d’un homme suppose une science presque surhumaine. Pour
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s hommes qui avaient plus de vingt ans en 1933 ne
comprendront
jamais les temps nouveaux. Il prépare pour le séminaire un travail su
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s très délicates, enfants naturels, etc., vous me
comprenez
. Vous imaginez qu’avec cela, nous ne la voyons plus guère. Et comment
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èrent — marchent en esprit dans nos rangs. » J’ai
compris
. Cela ne peut se comprendre que par une sorte particulière de frisson
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t dans nos rangs. » J’ai compris. Cela ne peut se
comprendre
que par une sorte particulière de frisson et de battement de cœur — c
8
ion nouvelle Si l’on n’a pas senti cela, on ne
comprendra
jamais la raison simple des triomphes totalitaires. Évidemment, il se
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ch. Ce n’est pas en parlant d’hystérie qu’on peut
comprendre
le phénomène fondamental de la reconstruction d’une communauté autour
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masses sont en mesure d’entendre, mais non pas de
comprendre
; où l’État devient le seul représentant du bien commun, mais ne se m