1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 s effets sur tous les plans, celui de la guerre y compris . Mais il est bon de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exemple. L’Al
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
2 l’Opéra où l’on donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann :
3 relle. Et tout cela chanté dans une langue que je comprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui demander je ne sais plus qu
4 e cette musique. Voici que vous êtes tout près de comprendre … Mon voisin avait parlé tout haut ; personne pourtant ne se détournai
5 us nous rencontrons. Vous me voyez parce que vous comprenez certaines choses par votre souffrance… Mais le temps approche où vous
6 oche où vous n’aurez plus besoin de souffrir pour comprendre . Le faisceau de lumière quitta la scène, un reflet balaya le parterre
7 de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien, ajouta-t-il, mais pour d’autres raisons qu’eux, probablem
8 nt mystiques… Mais vous savez, « les autres » n’y comprennent jamais rien, dès qu’on aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un re
9 le premier être venu. — Certes, poursuivit-il, je comprends que l’Europe est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je vois s
10 ais je crois que l’Occident est devenu fou. Il ne comprend plus rien. » Des bugles agonisaient, aux dernières mesures d’un tango
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
11 On voudrait que cela dure longtemps, on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais le poète referme son livre, plie ses lunettes,
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
12 aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobée, des coups d’œil, dans le léger ét
13 sensibilité même qu’on impose une livrée. — « Je comprends , me dit-on. Vous êtes pour la fantaisie, c’est bien joli ! » — Non, M
14 ait à la SDN en tenue de magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa politique. viii Les coussins Rothermere Le nationalis
15 upériorité de race — sa véritable légitimité — on comprend que le Hongrois n’ait point conservé une extrême sensibilité aux argu
16 un rythme constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de s’abandonner d’une certaine manière. En France, chacun parle p
17 et basse, prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux marches de l’Asie
18 dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’
19 sterait qu’à le détruire. (Aussitôt je commence à comprendre ce qu’il est : cela qui me rendrait acceptable ce monde.) Malheur à c
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
20 u médecin, mais il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par un fou. » L’hiver dernier, m’occupant assez longue
21 a s’oublie. Et l’amour, tout justement, nous fait comprendre , dans le temps même qu’il nous entrouvre le ciel, qu’il est bon qu’il
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
22 leur neutre, et quelque bienveillance lorsqu’il a compris . Est-ce tout ? Il y a encore l’absence de la fille, élément considéra
23 op tôt. 28 avril 1929 Ils ont de la peine à comprendre pourquoi je suis venu vivre dans ce bourg, chez eux justement… Commen
24 r des collines, il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées
25 u point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes lèvres. Alors j’abais
26 et instant du moins je les ai tous aimés. Et j’ai compris que la grandeur du cœur humain, c’est de donner sans mesure un amour
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
27 e, cédant à l’évidence des choses ou de l’esprit, comprend enfin qu’il est perdu, il découvre la liberté. Le goût de se perdre e