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ec le grand public. Le peuple ne se soucie pas de
comprendre
cette langue étrangère, algébrique, aristocratique. Il s’en tient à s
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, ou une croyance au chambardement libérateur. On
comprend
aisément les raisons de cet appel anxieux à la santé perdue. Le mythe
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e tire son origine. Il nous permet ainsi de mieux
comprendre
les raisons de la crise présente, terme fatal d’une révolution qui a
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te est visible : les rédacteurs de la requête ont
compris
que la mesure latine a cessé d’être réellement commune. Et quand Guil
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les diverses corporations cessèrent bientôt de se
comprendre
. L’obsession des moyens avait obscurci la fin commune. Nous retrouver
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les. Et je doute qu’un Meyerson soit sérieusement
compris
et discuté par beaucoup plus de personnes que Descartes n’en convainq
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t unanime. Si bien que les écrivains ne sont plus
compris
du peuple, et que la langue vulgaire s’encombre d’équivoques, de conf
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un peu plus loin ! Et l’on s’interdirait de rien
comprendre
à l’évolution nécessaire de la culture soviétique, si l’on se refusai
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etenir que l’élan titanique du Troisième Plan. Je
comprends
très bien qu’en présence des « réalisations » impressionnantes que l’
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tre aux yeux des partisans sincères du régime. On
comprend
fort bien les raisons qui les empêchaient jusqu’ici de prendre consci
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ns en évidence. ⁂ Les écrivains soviétiques l’ont
compris
. Aussi les voit-on condamner la théorie marxiste originelle, qui veut
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e par nationalisme. Il se condamne ainsi à ne pas
comprendre
ce qu’il y a de religieusement puissant dans l’hitlérisme : la revend
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e triomphe même d’Hitler. C’est parce qu’Hitler a
compris
cela qu’il a battu tous les partis adverses, et sept millions d’élect
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s, et sept millions d’électeurs communistes. Il a
compris
que la mystique était plus forte que les intérêts, d’autant plus fort
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a force de l’armée du Rhin. Mais surtout Hitler a
compris
que la mystique la plus puissante sur le peuple, serait celle qui lui
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constituée, mais que l’on veut imposer au tout, y
compris
la culture et la morale. Ce sont les nécessités de la propagande, ide
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nation unie, ou société sans classe… Si l’on veut
comprendre
ce temps, et l’ère nouvelle, incalculablement, qu’il inaugure, il fau
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conde partie de cet ouvrage risquerait d’être mal
compris
, si je n’écartais dès l’abord deux malentendus très courants dans les
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s et théologies traditionnelles, jusqu’à Kant non
compris
, qui cherchaient, elles, à voir quelque chose pour atteindre et pour
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la psychologie, la philosophie telles qu’ils les
comprennent
, c’est cela qu’on enseigne à l’université, c’est à cela qu’on forme d
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spect scientifique de la pensée contemporaine, on
comprendra
sans peine la belle ruse de certains de ces Messieurs, et pourquoi en
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s les médecins malades, ceux qui feignent de nous
comprendre
, ceux dont la sollicitude va seulement à ménager le patient — et c’es
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est possible, vis-à-vis de la réalité. Et cela se
comprend
: il y a si peu de tons purs dans le détail de l’existence, tout est
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es mains des hommes, d’où qu’ils sortent, qui ont
compris
que la révolution ne saurait être faite que par et pour ce qu’il y a
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jusqu’à l’absurde — mais ceux qui veulent agir me
comprendront
— je poserai donc la thèse suivante, comme une limite extrême et un r