1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 je vais me séparer de Jim, et, je suis sûre qu’il comprendra très bien… » Un mois plus tard, Jim et Joe boivent ensemble à la sant
2 semaine. Il me semble assez important, pour faire comprendre à des Français certaines démarches surprenantes de la diplomatie amér
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
3 aux, et la démocratisation du monde entier, Japon compris , Russie comprise. J’ai senti cela en les voyant danser, en les voyant
4 ratisation du monde entier, Japon compris, Russie comprise . J’ai senti cela en les voyant danser, en les voyant marcher en chant
5 Je vous l’ai dit dans mon premier article : on ne comprend rien à l’Amérique, si d’abord on ne l’a pas sentie dans les rythmes d
6 te que soutient l’Empire britannique, essayons de comprendre les raisons de la santé démocratique des USA. Un organisme est sain l
7 asteurs et des écrivains échouait naguère à faire comprendre . Grave menace pour la liberté. ⁂ J’en vois une autre et non moins inq
8 vice ? C’est fort possible. Personne au monde n’y comprendra plus rien. Une moitié des bureaux passera son temps à faire enquête s
9 arce qu’ainsi, croient-ils, tout le monde (et eux compris bien entendu), se sentira plus en sécurité et plus à l’aise. Je pense
10 43, on l’accuse de se mêler de ce qu’elle ne peut comprendre . Ce qu’on voudrait en somme, c’est que les Américains interviennent q
11 agne : ils sont trop doux, ils sont naïfs, ils ne comprennent rien aux problèmes intérieurs de l’Europe, de quoi se mêlent-ils ? In
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
12 iques. On me dit qu’il faudrait être à Paris pour comprendre . Je suis en Amérique, que voulez-vous ! Et les Américains ne comprenn
13 Amérique, que voulez-vous ! Et les Américains ne comprennent pas non plus. — Vous savez bien, leur dis-je, qu’il s’agissait de sau
14 . — Acceptons cum grano salis vos essais de nous comprendre par images. Ce n’est pas toujours aussi puéril… — Mais c’est souvent
15 un sens satisfaisant. Avant tout, il « cherche à comprendre  ». Et je crois qu’à son idée, donner un sens c’est généraliser. De mê
16 idée, donner un sens c’est généraliser. De même, comprendre c’est classer, ou résumer en une formule, en une maxime, en un prover
17 u que par une patiente analyse. Au désir latin de comprendre afin de juger, répond l’essai. Au désir de « réaliser » répondent le
18 t le risque de rester inefficace, de n’être point compris , peu lu, ou refusé. L’auteur américain, et pour d’autres raisons le s
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
19 avantage que dans tout autre pays du monde, Suède comprise . Mais ce que les statistiques oublient de noter, c’est qu’on y divorc
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
20 Américain apprend votre prénom avant d’avoir bien compris votre nom, plus soucieux de vous ouvrir un crédit d’amitié que de pre
21 des Européens qu’on perd l’espoir de jamais faire comprendre les uns aux autres. D’où les accusations de « manque de sérieux », qu
6 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
22 , partout. Peut-être alors les masses elles-mêmes comprendront -elles qu’il n’est qu’un seul infini véritable : celui que chacun port