1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 — car l’essai qu’on va lire fait merveilleusement comprendre ce que représente aujourd’hui, sur la palette des États, ce petit pay
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2  » cherchèrent l’appui de l’empereur. Frédéric II comprit qu’il était de son intérêt de les soutenir. Le col du Gothard venait
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 catholique, l’autre avant tout libéral. Le Centre comprend le parti radical, le parti agrarien (ou parti des paysans, artisans e
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
4 ance. Celles-ci sont au nombre de 48 en Suisse, y compris 7 compagnies de réassurance, qui détiennent le premier rang dans le m
5 30 à 20 % environ. Encore faut-il relever qu’elle comprend le revenu des entreprises publiques, des coopératives et des sociétés
6 e chiffre concernant ces derniers appareils : « y compris les chaudrons pour la nourriture des porcs ». 25. Exportations suiss
5 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
7 , la population de la Suisse, résidents étrangers compris , offrait la composition confessionnelle que voici : Nombres absolus
8 acquis au respect effectif des consciences, il ne comprend plus les moyens de pression et de violence en matière de religion. Qu
9 Église de celles de l’État, n’ont jamais été bien compris . Le culte zwinglien, au contraire, correspond au « démocratisme » pro
10 rendre une décision qui l’engage tout entière. On comprendra dès lors qu’il n’y ait pas en Suisse de parti politique protestant. I
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
11 e la Suisse dans la Société des Nations.) Et l’on comprend enfin pour quelles raisons cette neutralité armée est devenue au cour