1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 es buts respectifs de leur double aventure. Mieux compris , mieux réalisés, ces buts se révéleront un jour complémentaires, d’un
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 nciles), on se condamne du même coup à juger sans comprendre les faits et les objets visibles de notre histoire. En suivant le cou
3 r Robinson Un cas-limite peut nous faire mieux comprendre , par contraste, la réalité de la personne : c’est celui de Robinson C
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
4 vangélisez toutes les nations. » Or les chrétiens comprirent très vite que l’expression « toutes les nations » désignait autre cho
5 ntention était différente et que cela devait être compris d’une autre façon, et Il ne donne pas non plus le martyre à quiconque
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
6 il est vrai que le secret de la synthèse est de «  comprendre  » les incompatibles, cela ne peut se produire que dans un seul esprit
7 Ne voir là qu’une phrase édifiante interdirait de comprendre le motif primordial de notre science occidentale, et la raison pourqu
8 . Les « adversaires » du Christ ont souvent mieux compris que ses « défenseurs » attitrés les vraies implications du christiani
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
9 ront le temps de chanter — les occasions de mieux comprendre nos vies comme aussi de mécomprendre les chefs-d’œuvre. Quant à la qu
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
10 ’agit de mesures dont le mécanisme n’est pas bien compris par la masse mais dont les intentions finales, même inconscientes, so