1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 le dans l’histoire, nous n’arriverons jamais à le comprendre dans son mouvement, sa signification et sa tendance générale en parta
2 nait sur la plupart des nations de l’époque, Inde comprise  ? Comment se fait-il que les Chinois, qui étaient pourtant le tiers d
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
3 ts-Unis tout récemment.) Car il est impossible de comprendre l’enjeu et les motifs des grands débats en cours, sans les replacer t
4 , une fois de plus, n’est pas assez réaliste pour comprendre un message aussi précis, un message d’ingénieur politique. L’âge indu
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
5 alisme ; d’autre part, ces mêmes guerres ont fait comprendre aux Européens qu’il était temps de juguler leurs sanglants chauvinism
6 dans les pays colonisés, et de leur intérêt mieux compris — un peu poussées aussi par les États-Unis, qui les sauvaient alors d
7 même temps, et pour les mêmes raisons, elles ont compris ce qu’elles refusaient de comprendre depuis près de six-cent-cinquant
8 sons, elles ont compris ce qu’elles refusaient de comprendre depuis près de six-cent-cinquante ans : la nécessité de leur union. E
9 deux grands mondes.53 Et vingt autres ainsi, y compris Tocqueville, durant tout le xixe siècle, donc bien avant l’ascension
10 r l’ensemble de l’Occident — l’Amérique et Russie comprises  — pour l’ensemble d’un Occident qui devra bien se réconcilier avec lu
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
11 ns les pays colonisés, et de leurs intérêts mieux compris — un peu poussées aussi par les États-Unis, qui les sauvent alors de