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erroger l’autre. Les Suisses ont-ils suffisamment
compris
à quel point leur régime, loin d’être menacé par une fédération de l’
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t éclairer ce mystère, si l’on veut non seulement
comprendre
l’histoire suisse mais saisir le mouvement créateur d’une fédération
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es familles sont toutes éteintes, sauf une, qui a
compris
, dès avant Morgarten, que la Suisse n’offrait pas un théâtre idéal po
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l’autonomie de chacun. Les jacobins n’y ont rien
compris
: cette absence de système les eût épouvantés. Ils admiraient les Sui
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t qu’ils se croient plus que les autres ! » Leçon
comprise
par mes vingt petits camarades et qui me valut au sortir de la classe
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pre des époux, mais seulement de leur égoïsme mal
compris
, de leur impérialisme utopique. L’utopie des cantons, c’est de rêver
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se comme telle à l’Europe. Encore, les Suisses la
comprennent
-ils différemment : pour les Alémaniques, fédération veut dire « commu
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nnant si une telle pratique est mal connue ou mal
comprise
à l’extérieur, et notamment chez nos voisins français, épris de logiq
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grand-chose à se dire, et beaucoup de peine à se
comprendre
. Mais qu’importe ! Il suffit bien que tous les trois soient attachés
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sse », et qu’ils l’approuvent. Et quand on a bien
compris
cela, on a compris le fédéralisme. La persistance après un siècle des
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approuvent. Et quand on a bien compris cela, on a
compris
le fédéralisme. La persistance après un siècle des caractères distinc
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est censé recevoir des banques privées. Le centre
comprend
le parti radical, le parti agrarien (ou parti des paysans, artisans e
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z récent pour être encore fréquemment évoqué fera
comprendre
le fonctionnement de ce recours au peuple, et peut-être aussi les lim
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er le prix du lait. Le vrai problème est de faire
comprendre
aux électeurs les données de base de notre société, et l’enjeu des dé
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e chiffre concernant ces derniers appareils : « y
compris
les chaudrons pour la nourriture des porcs ». 73. Cette accélération
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conforme, quoi qu’on pense, à un fédéralisme bien
compris
. Car le fédéralisme n’est pas seulement une formule juridique et cons
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qu’avec cet air exaspérant de celui qui renonce à
comprendre
… Ah ! mais il faut y être pour sentir et pour réagir comme je le dis.
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t suffisamment avertie pour excuser, voire pour «
comprendre
» ce genre de routines officielles que les vieux se croient obligés d
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re, elle s’allonge et s’amincit. Pourquoi ? Je ne
comprends
pas, c’est plus fort que moi… » Nous admirons un portrait de son pèr
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r la population résidente de la Suisse (étrangers
compris
)94 : Allemand Français Italien Rhéto-romanche Autres langu
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ers membres d’une proposition. « Ouais, enfin… tu
comprends
? » On se quitte sans s’être compris. Deux rêvasseries se sont traver
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enfin… tu comprends ? » On se quitte sans s’être
compris
. Deux rêvasseries se sont traversées sans se voir. » J’ai toujours dé
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est un phénomène d’incarnation (ce que l’école ne
comprend
pas). » Loin de demander qu’un bon enseignement de la rhétorique, à l
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fondateur des sciences humaines telles qu’on les
comprend
aujourd’hui. On n’est pas plus Genevois, au sens traditionnel et patr
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ui de leurs prétentions. Mais le fédéralisme bien
compris
ne consiste pas à juxtaposer des monades. Il implique au contraire la
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acquis au respect effectif des consciences, il ne
comprend
plus les moyens de pression et de violence en matière de religion. »1
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rendre une décision qui l’engage tout entière. On
comprendra
dès lors qu’il n’y ait pas, à l’échelle nationale, de parti politique
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nous menace. Notre neutralité n’est pas toujours
comprise
. Notre fédéralisme est compromis, et ce qu’il en reste freine l’élan
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et c’est peut-être mieux ainsi. Mais notre peuple
comprend
mal ce qui est en jeu. Je ne suis d’accord, pour ma part, ni avec ceu
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à long terme nos diversités et nos intérêts bien
compris
, et qu’il est dangereusement irréalisable de raisonner comme s’il éta
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u « trop tard mais je n’y puis rien, et tâchez de
comprendre
mes soucis… ».) 2° « L’on peut mesurer les difficultés que rencontrer
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es que celles d’un fédéralisme plus ou moins bien
compris
d’ailleurs, amélioré, dénaturé, réinventé tant que l’on voudra, mais
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n mais qui fait tout sentir : désormais vous avez
compris
, et tous les livres, et celui-ci, n’y pourront ajouter grand-chose. T
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l, ainsi que du Serment du Grütli, Gleser n’a pas
compris
qu’il apportait ainsi l’argument le plus fort contre l’hagiographie d
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hapeau sur la perche, le meurtre d’un bailli). Il
comprend
mieux que Kopp (aveuglé par son admiration pour les Habsbourg) l’impo
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suisse au milieu du xixe siècle. On ne peut donc
comprendre
l’histoire suisse sans tenir compte du Tell de la légende, — celle-ci
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e pièce au jeu. En revanche, il est impossible de
comprendre
vraiment le peuple suisse si l’on omet ce fait incontestable : c’est
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ce peu, presque tout est cliché. J’espérais faire
comprendre
outre-Jura que le fédéralisme n’est plus ce qu’en dit Littré (voir p.
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Suisse, telle que la France seule me l’avait fait
comprendre
par la vertu didactique du contraste. Avant d’aller vivre à Paris, à