1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 e fixée à la technologie par la vie même. Il fait comprendre aussi la révolte des jeunes (mais pas d’eux seuls) contre la société
2 s procédés, si loin que nous soyons encore de les comprendre . Robin Clarke a dressé la liste des paires d’oppositions entre commun
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
3 que « toutes les précautions ont été prises », je comprends instantanément qu’il y a lieu de redouter le pire. En 1974, dans la c
4 membres de l’Union souhaitent donc que le public comprenne les répercussions néfastes que pourraient entraîner pour l’approvisio
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
5 projets nucléaires de l’État. N’auraient-ils pas compris la partie qui se joue ? Et que les États-nations avec leurs bombes « 
6 aux treize millions qui selon l’abbé Grégoire ne comprennent pas le français (c’est plus de la moitié de la population !), ils n’o
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
7 endi ou dominandi, selon Bacon. Quand nous aurons compris que la crise dont nous souffrons résulte en vérité de nos désirs et n
8 bien voulu cela — nous serons mieux en mesure de comprendre à quel point l’avenir, lui aussi, désormais va dépendre de nous, de n
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
9 bleau de bord, et il s’efforce désespérément d’en comprendre le mécanisme, avant que l’appareil ne s’écrase sur une montagne ou ne
6 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
10 r. Un chauffeur de taxi parisien me dit : — Je ne comprends plus les jeunes. Mon fils s’est acheté une voiture. Le dimanche soir,
11 ourd à cette harmonie universelle, incapable d’en comprendre les correspondances divines et humaines, insensible même à sa déchéan
12 ibre et généreux, le sentiment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la liberté et une certaine durée normale et capricieuse
13 ue des rapports abstraits entre les choses. Il ne comprend presque plus rien à l’Univers. » Par la technique, l’Occidental a pré
14 bles de confort, de beauté, d’aisance à vivre. On comprend qu’ils n’aient pas enregistré tous les signes sensibles qui pouvaient
7 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
15 cette ville était peut-être nécessaire pour faire comprendre au monde entier qu’il est des victoires impossibles110… » Enfin, on p
16 té d’avance — gesticulation saccadée et moustache comprises  — et cette anticipation grotesque nous paraît aujourd’hui bien plus r
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
17 formuler ce qu’il refuse, qu’il parvient aussi à comprendre ce qu’il attend de lui-même et voudrait devenir. Certes, il s’éprouve
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
18 de revendiquer dans un vide anonyme nous aurions compris depuis longtemps qu’en fait c’est nous qui payons tout ! Et nous exig
19 t surtout, si l’État c’était nous, chacun de nous comprendrait enfin la fonction nécessaire qu’on nomme État à tous les degrés de la
20 èrent — marchent en esprit dans nos rangs. » J’ai compris . Cela ne peut se comprendre que par une sorte particulière de frisson
21 t dans nos rangs. » J’ai compris. Cela ne peut se comprendre que par une sorte particulière de frisson et de battement de cœur — c
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
22 ance via sa départementalisation, avait fort bien compris la vraie leçon de Rousseau. Il estimait, en effet, que « la France pé
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
23 prit (merveilleuse expression, en vérité, dont on comprend qu’elle exaspère les sots), personne n’y croit, personne n’est prêt p
24 M. Michel Jobert espère que l’incident fera mieux comprendre aux Français « la nécessité d’une défense vigilante de leurs intérêts
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
25 plus dans l’Europe intégrale, j’entends celle qui comprend les sept pays de l’Est, les plus riches en minorités niées, négligées
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
26 erait aucune révolution, au sens où j’ai toujours compris le terme, qui n’est pas « tout casser », mais au contraire, poser un
14 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
27 t-être même, de proche en proche, finira-t-il par comprendre que toutes les guerres conduites sur notre continent furent perdues p
28 an à Milwaukee, quelques semaines à Riazan : vous comprendrez ce que tous les autres au monde ont si nettement et rageusement compr
29 s autres au monde ont si nettement et rageusement compris tandis que vous vous complaisiez dans cette mauvaise conscience narqu
30 s que le lecteur me pose pour s’assurer qu’il m’a compris .   — Qu’attendez-vous de l’avenir européen ? — Cela se résume en troi
31 oujours, de « pollution », notez cela !   — Si je comprends bien, vous n’avez avec vous ni les gouvernements ni les partis, ni la