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ou dans la vie de l’âme, reconnaître des formes,
comprendre
leur langage, et parfois même prévoir leur développement. Les mythes
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rices, dans le monde d’où provient toute forme, y
compris
la forme de l’homme. Voltaire disait : « Dieu créa l’homme à son imag
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ment dits, mais en tant qu’elle nous aide à mieux
comprendre
la vraie nature de l’homme, et nos vies dans ce siècle. Je pense que
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niscience du Créateur, et c’est pourquoi nous les
comprenons
mal. « Tout ange est terrible ! » dit Rilke. Mais tout ange est bon,
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ousiasmant, c’est-à-dire « endieusant » du désir…
Comprenons
maintenant que le diable ne pourrait rien sans notre liberté. Car c’e
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en artifices, étend son action. »7 Nous pouvons
comprendre
cette ruse. Pourquoi sommes-nous parfois tentés de vivre par délégati
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sion, non démentie depuis, que le règne du diable
comprend
72 princes et 7 405 926 diables, divisés en 1111 légions de 6666 supp
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ndance ; d’intégrer Dieu lui-même dans la Nation.
Comprenons
bien ce que signifie, dans cette perspective satanique, le terme d’Ét
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cette Ville était peut-être nécessaire pour faire
comprendre
au monde entier qu’il est des victoires impossibles. On ne conquiert
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ur de la pire vengeance où, s’arrêtant enfin, ils
comprendront
qu’aucun triomphe ne vaut pour eux la moindre des réalités humaines q
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me s’est efforcé depuis des siècles de nous faire
comprendre
que le Royaume de Dieu est en nous, que le Mal aussi est en nous, et
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mauvaise volonté. Nous sommes tous, nos ennemis y
compris
, des « hommes de bonne volonté »13. Pourtant voyez ce qui se passe da
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uvaise répartition des biens, d’une éducation mal
comprise
, de lois inadéquates, ou de refoulements et d’injustices qui pouvaien
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mensonge inconscients, nous rendent incapables de
comprendre
ce qui se passe dans le monde, et nous livrent aux ruses les plus sim
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ers le diable en agent d’assurances générales. Il
comprend
tout et il a tout prévu. Il connaît l’homme dans sa vulgarité, et se
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orte un sens comporte quelque bien, le nonsense y
compris
, qui n’est qu’une allusion à des sens imprévus ou cachés. Quant à l’a
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rcles vicieux de la raison et de l’égoïsme « bien
compris
». La fonction normale de la vie mondaine serait de maintenir et d’il
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du Malin. Elle empêche la victime du charlatan de
comprendre
que ses malheurs ne sont pas le Mal, ni même nécessairement les consé
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découvertes, « vertus » et idéaux. Kierkegaard a
compris
mieux que quiconque, et avant tous le principe diabolique créateur de
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tier, patois divers, tant qu’à la fin elles ne se
comprirent
plus. La multiplicité des langues était née du travail lui-même. Mais
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ul regard. Une seule intelligence ne peut plus en
comprendre
et en maîtriser les rouages. (Et c’est sans doute pourquoi l’on peut
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t plus savant, et jamais il n’eut l’impression de
comprendre
aussi mal ce qui se passe dans son monde. Jamais avec plus de ferveur
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ue de le brider encore… Il va sans dire que je ne
compris
que beaucoup plus tard ce qu’il y avait, dans cette exhortation, de d
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et revenait sur ma nuque. À l’instant où je l’ai
compris
, il a tiré. — Eh bien oui, je suis là, dit-elle. (Je tenais sa main.
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eul regard.) Que faudra-t-il encore pour que nous
comprenions
l’étendue de la catastrophe, et qu’elle est vraiment sans limites ? E
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naît de leur alliance. Ceux qui n’ont pas encore
compris
que la liberté est le fondement vivant de l’ordre ; qu’elle ne peut ê
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irage et la publicité ; ceux qui n’ont pas encore
compris
que la liberté est foncièrement incompatible avec tout cela ; ceux qu
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ela ; ceux qui ne savent pas prouver qu’ils l’ont
compris
— ceux-là n’ont aucun droit de se dire démocrates, ils ne méritent ri
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mieux qu’un dictateur. Ceux qui n’ont pas encore
compris
que liberté égale responsabilité, ceux-là n’ont aucun droit de revend
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un plan. Un plan commun, clairement déterminé et
compris
de la même manière par tous ceux qui devront l’exécuter. Un plan qui
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ur reprendre mes esprits en quelques secondes, je
comprends
bien pourquoi l’on dit : je me réveille, et qu’il s’agit vraiment d’u