1 État perde son importance. Les petites nations y compteront autant que les grandes et tireront leur honneur de leur contribution

2 nte sans relâche. Dans quelques décennies, l’URSS comptera une forte majorité de Turcs et d’Asiatiques.) Voilà qui est propre à

3 sources non renouvelables et nous ne pouvons plus compter sur un accès automatique à la plupart de nos sources extérieures d’ap

4 d’homme, qui marque le début de notre manière de compter les années, a introduit l’idée d’un progrès linéaire du temps, allant

5 emble, temps des mythes, pour lequel les dates ne comptent pas. Un troisième fait : ce sont les Européens qui ont exploré la pla

6 vait rien pour lui que son autorité. Voilà qui va compter devant l’Histoire, bien plus que les péripéties dont nous allons être

7 llions d’habitants, alors que les États-Unis n’en comptent que 220 et la Russie 250… Alors pourquoi nous sentons-nous écrasés ?

8 i nous sentons-nous écrasés ? Parce que nous nous comptons par nation et que nos nations sont trop petites. Que ce soit le Luxem

9 ontalières divisées. Je les voyais en train de se compter , de se nommer, de se lier et jumeler, de repérer leurs problèmes comm

10 qui l’amènent à démontrer que tous comptes faits, compté le nombre d’heures de travail qu’un ouvrier américain consacre à gagn

11 59 sans rien faire. » (Mais le simple fait de les compter  !) Voyons, dans le journal des années qui encadrent la conception, la

12 ussi de « Vive la liberté ! ». Il sait qu’il doit compter avec les libéraux. Lorsqu’il apprend par Sébastiani la présence de Be

13 -là ? Il était mon aîné de huit ans, et cela peut compter quand on en a vingt-cinq. Il était réservé, presque secret, d’une esp