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n des fabliaux ; la Marianne de Marivaux naît des
comédies
de Marivaux, non de Sorel ; et Zola naît de la décomposition du roman
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On connaît le curieux sujet de la Place royale,
comédie
fort désobligeante. Alidor amant d’Angélique, et aimé d’elle, « se tr
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nté triomphant de la passion. Mais la suite de la
comédie
, même si nous ignorions les ruses du mythe, nous ferait bien voir que