1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 et plus indiscutablement manichéen que la Divine Comédie n’est thomiste. Il reste que Gottfried explicite la légende d’une ma
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
2 n des fabliaux ; la Marianne de Marivaux naît des comédies de Marivaux, non de Sorel ; et Zola naît de la décomposition du roman
3 . On connaît le curieux sujet de la Place royale, comédie fort désobligeante. Alidor amant d’Angélique, et aimé d’elle, « se tr
4 nté triomphant de la passion. Mais la suite de la comédie , même si nous ignorions les ruses du mythe, nous ferait bien voir que
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
5 ossible influence de la mystique soufiste dans la Comédie , il peut être intéressant de mentionner la thèse hardie et quelque pe
6 lier à l’autorité spirituelle. Dès lors, toute la Comédie , le Convito, et même le De vulgari eloquentia devraient être interpré
7 brochure porte un titre significatif : Clef de la Comédie anticatholique de Dante Alighieri, pasteur de l’Église albigeoise de
8 igéisme, albigeois ». — Mots introuvables dans la Comédie , quand l’idée est partout présente. « Dames ». — Les initiés du templ