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es déroulés dans une durée lyrique, et non pas en
concepts
instantanés, entrant ainsi dans le champ de la conscience sous une so
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ux, que de rétablir dans sa pureté apostolique le
concept
de témoin de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr. Or l’évê
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de Kierkegaard était comme fascinée par les deux
concepts
d’instant et de saut. L’instant, c’était pour lui le temps de la foi,
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s par le Journal — c’était Régine ! Plus tard, le
concept
d’individu s’universalise (paradoxalement !) et s’approfondit. Il est
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ique et la mystique, mais qui souvent n’est qu’un
concept
bâtard, engendré par le romantisme. Gide recherchait plutôt la rectit
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de la Parole : par leurs images plutôt que leurs
concepts
; sans conclusion. Mais l’angle de vision s’est imposé. Et l’imaginat
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voir, l’atteint. Dans les deux cas, il s’agit du
concept
, de l’idée et de l’existence de l’Infini, dès que la parole cesse d’ê
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la langue, la langue vivante des images, non des
concepts
. C’est ainsi, finalement, par le détour du zen, que le Kassner des d
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et celui de Rilke. Par un suprême dépassement des
concepts
, au nom du Sens qui est le But à l’infini. Le but, la flèche et l’
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s dans le thomisme, on peut suivre l’évolution du
concept
et du terme de personne, forgé par la doctrine trinitaire : il s’appl
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prédateur-exclusif-fabricateur (d’objets, non de
concepts
.) Déviations typiques : Don Juan. Aberrations de l’instinct. Naturis
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lassique, impudent, inventif (de structures et de
concepts
). Déviations typiques : Schizophrénie. Goût du viol. Impuissance sex