1 miers humanistes commencent à distinguer les deux concepts de christianitas et d’Europa. C’est enfin dans les œuvres d’un homme

2 juif conscient dans un monde culturel pénétré de concepts chrétiens, ait exprimé sa révolte devant l’idée que Dieu pourrait « j

3 es dans notre idée de la liberté. Il n’est pas de concept plus difficile à définir, plus facile à nier en théorie, et il n’est

4 li — toutes choses qui ont permis l’apparition du concept chrétien de personne. Les révolutionnaires ne peuvent se former que d

5 mouvement originel. D’où nous vient, en effet, le concept de progrès ? Il n’est apparu comme tel qu’au xviiie siècle. Mais ses

6 du succès ? est-ce qu’on en a parlé à la TV ? Le concept même de littérature est donc spécifiquement européen. Quant aux éléme

7 malheur congénital du fédéralisme reste d’être un concept dialectique, ambigu, et qui autorise — ou incite en tout cas — aux pl

8 ance pratique de tout effort de clarification des concepts de fédération et de fédéralisme. Pour ma part, je voudrais maintenant

9 traité confondaient sincèrement et réellement les concepts de patrie, de nation et de souveraineté. Édouard Herriot, par exemple

10 par mépris pour la religion, l’a remplacé par le concept de culture nationale. On prétend que les idées ne connaissent pas de

11 es sur la régionalisation des États européens. Le concept de région a pris une place considérable, non seulement dans les préoc

12 posé au stato-national, implique des mutations de concepts et de catégories politiques. Et d’abord, un changement dans le vocab

13 upes parmi les « difficultés » qu’ils opposent au concept de région et aux projets fondés sur lui. Objections mythologiques o

14 Que pourrait donner regio, sans évoquer jamais le concept essentiellement français-centraliste de « provincialisme » ? 38. Cf.