1
leur genèse historique, les maîtres mots de notre
conception
occidentale de l’homme : l’individu et la personne. Et vous voyez que
2
ce double point de vue : condition de l’Église et
conception
de l’homme, que nous pourrons le mieux départager les deux groupes de
3
des lois contre lesquelles l’homme ne peut rien.
Conception
très lugubre, mais commode, car elle justifiait l’inaction ou la retr
4
ers l’ensemble se fécondent mutuellement19. Cette
conception
du monde n’est pas nouvelle : elle constitue l’apport spécifique de l
5
développée à tous les degrés, mais fondée sur une
conception
de l’homme incroyablement étriquée, devient une espèce d’asepsie qui
6
t pas seulement des colonnes motorisées, mais des
conceptions
de l’homme, de l’État, et des religions, des partis pris spirituels b
7
roit divin. Nous savons que la neutralité est une
conception
menacée ; qu’elle est en quelque sorte contre nature, car l’instinct
8
failliblement à ces quelques traits : ils ont une
conception
de la « religion » plutôt déiste qu’évangélique ; ils prônent un mora
9
diplomate moderne doit être un expert commercial.
Conception
bien typique du siècle dernier, où, en effet, la politique n’était pl