1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 leur genèse historique, les maîtres mots de notre conception occidentale de l’homme : l’individu et la personne. Et vous voyez que
2 ce double point de vue : condition de l’Église et conception de l’homme, que nous pourrons le mieux départager les deux groupes de
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
3 des lois contre lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lugubre, mais commode, car elle justifiait l’inaction ou la retr
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
4 ers l’ensemble se fécondent mutuellement19. Cette conception du monde n’est pas nouvelle : elle constitue l’apport spécifique de l
5 développée à tous les degrés, mais fondée sur une conception de l’homme incroyablement étriquée, devient une espèce d’asepsie qui
6 t pas seulement des colonnes motorisées, mais des conceptions de l’homme, de l’État, et des religions, des partis pris spirituels b
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
7 roit divin. Nous savons que la neutralité est une conception menacée ; qu’elle est en quelque sorte contre nature, car l’instinct
8 failliblement à ces quelques traits : ils ont une conception de la « religion » plutôt déiste qu’évangélique ; ils prônent un mora
5 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
9 diplomate moderne doit être un expert commercial. Conception bien typique du siècle dernier, où, en effet, la politique n’était pl