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eils que l’on précipite le monde, par cette folle
concurrence
actuelle que se font les partis pour obtenir, dans toutes les questio
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ctions comme fait la guerre. C’est le temps d’une
concurrence
créatrice, et de la lutte des productions. Mais Moi, ne suis-je pas f
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éficier d’une avance industrielle telle que toute
concurrence
se manifesterait contre elle inopérante et que rien, nulle part, ne r
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ec plus de vigueur qu’auparavant. À mesure que la
concurrence
des nations s’éteindra, l’Alsacien pourra vivre en tant qu’Allemand o